Deuxième condamnation du colonel COLLORIG: Un paiement par la Protection Fonctionnelle d’ici la fin de l’année. Un pur scandale!

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Deuxième condamnation du colonel COLLORIG:

Un paiement par la Protection Fonctionnelle d’ici la fin de l’année.

Un pur scandale!

Collorig

  • A quoi servent les deniers des contribuables au sein de la Gendarmerie Nationale en matière de protection fonctionnelle?

Voici, une réponse qui devrait vous interloquer.

Le colonel de gendarmerie Laurent COLLORIG, ancien commandant de la Section de Recherches de la gendarmerie de l’Air a été mis en cause par son subordonné, l’adjudant-chef Gérard GUEDON, pour harcèlement moral hiérarchique au travail et violences psychologiques, notamment.

Ces faits sont également susceptibles d’avoir un retentissement devant la juridiction pénale, prochainement. De nouvelles révélations sur «Armée média, le journal de l’AFAR» éclaireront nos chères lectrices et chers lecteurs en temps opportun.

Cette affaire médiatisée sur le site «Armée média, le journal de l’AFAR» suscite telle une saga, un intérêt majeur chez nos lectrices et nos lecteurs, puisqu’elle a engendré plusieurs centaines de milliers de vues et de très nombreux partages malgré nos modestes moyens.

C’est ainsi que cette publicité dénonçant les agissements du colonel Laurent COLLORIG, dont les mensonges ont été démontrés et attestés par de très nombreux témoignages, courriels, courriers, documents et preuves a conduit cet officier supérieur de gendarmerie que se revendique notamment «professeur de droit pénal et de sécurité», a entreprendre plusieurs contentieux au civil contre l’adjudant-chef Gérard GUEDON en diverses qualités, Paul MORRA en diverses qualités, et l’AFAR (Association des Forces Armées Réunies) (DEFENDEURS).

  • Extrait du profil LinkedIn du colonel Laurent COLLORIG

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Rappelons qu’à cet effet, le colonel Laurent COLLORIG a osé produire en justice, en urgence, deux rapports d’enquête administrative établis par le BEA (Bureau des Enquêtes Administratives) de l’IGGN (Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale) caractérisant des faux en écriture dénoncés sur «Armée média, le journal de l’AFAR», jamais remis en cause, obtenus de manière occulte et illégale suivant la réponse officielle de la DGGN, sauf à démontrer le contraire.

Cet officier supérieur de gendarmerie, du grade de colonel clame solidairement avec son nouvel avocat, Maître BIGOT dans leur citation directe devant le TC de Perpignan, que ces rapports sont impartiaux, sans produire lesdits rapports au mépris du respect du débat contradictoire.

Dans les faits, ils ont peur de commettre une escroquerie au jugement, les magistrats du TGI de VERSAILLES ayant déjà été trompés par deux fois sur ce point par le colonel Laurent COLLORIG en violation de l’article 9 du Code de Procédure Civile.

«Il incombe à chaque partie de prouver conformément à la loi les faits nécessaires au succès de sa prétention.»

  • Lire notre article intitulé:

Production en justice des rapports de l’IGGN par le colonel Laurent COLLORIG: la réponse embarrassante de la DGGN.

Le colonel COLLORIG et son avocat, Maître BIGOT sont invités à émettre un droit de réponse sur notre site, s’ils souhaitent s’exprimer à ce sujet. «Armée média, le journal de l’AFAR», se fera un plaisir de publier leur éventuel commentaire et d’y répondre le cas échéant.

  • Extrait réponse DGGN du 21 février 2019:

Réponse DGGN du 21 février 2019

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Les deux contentieux initiés par voie d’assignations en réféfé pour diffamation et «au fond» pour atteinte à la présomption d’innocence et atteinte au droit à l’image devant la Première Chambre du TGI de VERSAILLES ont été couronnés de succès pour les défendeurs, le colonel Laurent COLLORIG s’étant désisté a deux reprises ce qui l’a conduit à être condamné à chaque fois, le 6 février 2018 et dernièrement, le 17 septembre 2019.

Lire nos articles intitulés:

AFAR: 1 – Colonel Laurent COLLORIG: 0. Voilà ce qui arrive quand on attaque l’AFAR pour diffamation, une condamnation pour l’initiateur de la procédure.

AFAR: 2 – Colonel Laurent COLLORIG: 0. Voilà ce qui arrive quand on attaque l’AFAR pour la seconde fois consécutive après une première action en référé pour diffamation, une seconde condamnation pour l’initiateur de la procédure.

Pour le premier jugement du 6 février 2018, le colonel Laurent COLLORIG a bénéficié d’une Protection Fonctionnelle immédiate et n’a pas eu besoin de payer le moindre centime, ses multiples dépenses (avocats, constat et actes d’huissier, notamment) ayant été payées par la Protection fonctionnelle ainsi que le montant de sa condamnation après de longs mois d’attente et plusieurs relances de l’avocat des défendeurs restées sans réponse.

  • Extrait du courriel adressé par Maître De Gayardon aux défendeurs le 11 septembre 2018 à 11 heures 56.

Courriel relances Maître De Gayradon

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Lire nos articles intitulés:

Condamnation du colonel Laurent Collorig du 6 février 2018, les défendeurs toujours pas indemnisés!

Condamnation du colonel Laurent COLLORIG du 6 février 2018, les défendeurs enfin indemnisés!

-Actions en justice du colonel COLLORIG financées par la Protection Fonctionnelle: Des prétentions démesurées et exorbitantes… N’est pas la reine d’Angleterre qui veut!

C’est ainsi, que le colonel COLLORIG a pu harceler judiciairement en toute impunité, les défendeurs, par plusieurs contentieux judiciaires pendant plus de deux ans, bénéficiant de moyens financiers illimités, faisant valoir des prétentions à la hauteur d’un monarque.

A contrario, les défendeurs se sont vus refuser la Protection Fonctionnelle par la DGGN, ordonnateur de ces décisions ineptes caractérisant deux poids et deux mesures.

  • Extrait de la lettre de Maître De Gayardon au Juge de la Mise en l’Etat le 2 février 2019

Lettre 2 février 2019 De Gayardon au JME

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Pour le second jugement du 17 septembre 2019, le colonel Laurent COLLORIG bénéficiant toujours d’une Protection Fonctionnelle immédiate n’a pas eu là encore besoin de sortir le moindre sou, ses multiples dépenses (plusieurs avocats, actes d’huissier, notamment) ont été payés par la Protection fonctionnelle ainsi que le montant de sa condamnation qui est en cours de traitement.

Il est vrai  que la solde d’un colonel en activité par rapport à la solde de deux personnels de grade inférieur, placés en Congé de Longue Durée pour Maladie (CLDM) fortement impactée financièrement, justifie cette différence de traitement par pur esprit de caste, malgré les fautes  commises par cet officier supérieur de gendarmerie . C’est lamentable!

Là encore, le paiement s’avère être difficile, la Protection Fonctionnelle (CEN SAUVAIRE Cyrielle) ayant répondu par courriel en date du 2 octobre 2019 à 14 heures 54 que:

  • «S’agissant de crédits MININT, la direction générale de la gendarmerie nationale n’est qu’ordonnateur et non service payeur. En conséquence, nous n’avons pas de visibilité sur les délais de traitement de nos demandes de paiement. N’étant pas arrivé en fin d’exercice budgétaire, un paiement d’ici la fin d’année est prévisible.»

Courriel PF 2 octobre 2019 14 heures 54

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La DGGN serait bien avisée en tant qu’ordonnateur de reconsidérer la Protection Fonctionnelle accordée au colonel COLLORIG après ses deux condamnations pour exercer contre lui, une action récursoire, le bénéficie de la Protection Fonctionnelle n’étant en aucun cas destiné à financer des faits de harcèlement et de violences psychologiques sur personnes vulnérables comme c’est le cas.

Les fautes commises par le colonel COLLORIG, notamment par la production en justice de rapports de l’IGGN obtenus illégalement selon la réponse officielle de cette même Direction Générale qui refuse par ailleurs de les communiquer aux défendeurs malgré plusieurs demandes par lettres recommandées avec accusé de réception, démontrent sans équivoque possible, l’implication et la connivence de certains acteurs au sein même de la DGGN.

Ces fautes susceptibles de caractériser des infractions à la loi pénale, notamment pour des faits de violations du secret professionnel, sont aussi constitutives de fautes détachables du service, ce qui retire de facto, le bénéfice de la Protection Fonctionnelle.

La maintenir dans ces conditions, serait à minima, un acte de complicité par fourniture de moyens, d’autant plus que le colonel COLLORIG poursuit son harcèlement judiciaire contre Paul MORRA devant le TC de Perpignan, malgré ses mensonges récurrents!

Article 121-7 du Code Pénal

« Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation.

Est également complice la personne qui par don, promesse, menace, ordre, abus d’autorité ou de pouvoir aura provoqué à une infraction ou donné des instructions pour la commettre. »

Force est de constater que le colonel COLLORIG dans son apparente quiétude, semble oublier que le jugement du 17 septembre 2019 le condamnant pour la seconde fois consécutive, est un titre exécutoire. Cette décision de justice est en conséquence parfaitement applicable immédiatement par voie d’huissier auprès de sa personne!

En aucun cas, le paiement retardé par la Protection Fonctionnelle ne doit être subi par les défendeurs et leur conseil, ce qui leurs est de nouveau préjudiciable et une nouvelle fois générateur de droit.

A toutes fins utiles, pour cet officier supérieur de gendarmerie qui se retranche derrière la Protectionnelle pour fuir ses responsabilités, qu’il n’oublie pas qu’une procédure en réparation des dommages causés pour faute au sens de l’article 1240 du Code Civil, (ancien article 1382 de ce même code) est susceptible d’être engagée par les défendeurs pour obtenir l’ensemble des préjudices non pris en charge par cette condamnation et/ou en complément d’une seconde action en justice pour procédures abusives à leurs encontre.

«Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.»

C’est certainement la première pierre d’un long parcours que les défendeurs se réservent pour obtenir réparation des agissements fautifs du colonel COLLORIG.

Cet officer supérieur de gendarmerie ne reculant devant rien a inité une troisième procédure au pénal par voie de citation directe, toujours pour les mêmes faits devant le TC de Perpignan contre Paul MORRA devenant la cible à abattre.

Là encore, de nombreuses surprises attendent le colonel COLLORIG et son avocat Maître BIGOT, également avocat du DGGN dans un contentieux pénal en cours.

La suite, lors d’un prochain épisode…

2 Réponses pour Deuxième condamnation du colonel COLLORIG: Un paiement par la Protection Fonctionnelle d’ici la fin de l’année. Un pur scandale!

  1. La Grande Muette n’avoue jamais rien !
    Elle soutient ses officiers jusqu’au bout, sauf si une décision pénale défavorable vient les toucher… Et là tout se retourne, intégralement.
    Comme si elle cherchait à redorer son blason…

    http://www.lamarseillaise.fr/marseille/faits-divers-justice/74177-justice-l-ex-pacha-de-la-fregate-la-fayette-en-est-pour-ses-frais

    Cependant, je me pose des questions quand même pour la crédibilité des administrations. Avant les décisions de justice, elles disent toujours que tout va bien et qu’il n’y a rien à reprocher au mis en cause. Mais quand elles ne peuvent plus couvrir, elles retournent leurs vestes…

    • Je suis entièrement d’accord avec vous Fred, c est hélas la bien triste réalité. Au lieu de dénoncer les agents fautifs, notamment et surtout lorsqu’ils sont Officiers supérieurs, ils sont protégés par tous les moyens administratifs possibles mis à la disposition des administrations… Protection fonctionnelle , refus de cette même mesure aux victimes, enquête administrative totalement à charge etc…sanction disciplinaire, le panel habituel. Il faut beaucoup d’abnégation, une force hors du commun, être un *Extra terrestre* pour s’en sortir médicalement parlant, préparer avec grande méticulosité ses dossiers, vaincre les méandres judiciaires. Bref. De tels hommes sont rares. Ils sont donc dangereux et à abattre pour l’administration pour ne pas faire des émules. La victoire au bout du tunnel n’en n’est que plus Belle.
      Je ne doute aucunement de la Victoire pour ces personnes là.

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