Affaire BENALLA: Une police parallèle au sein de la gendarmerie nationale!

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Collusion

Affaire BENALLA: Une police parallèle au sein de la gendarmerie nationale!

Les auditions de la commission des lois à l’Assemblée Nationale concernant l ‘affaire BENALLA pose la question d’une police parallèle au service du pouvoir.

Armée média et l’AFAR ont démontré qu’au sein même de la Gendarmerie Nationale, des services d’enquête à la disposition et placés sous l’autorité du Directeur Général de la Gendarmerie Nationale (DGGN) s’exonéraient des règles de procédure pénale dans le traitement d’affaires sensibles impactant des intérêts particuliers ou mettant en cause l’institution. Parmi ces services, des enquêteurs de  l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale participent grandement  à cette police parallèle.

Pour s’en convaincre, lire nos articles ci-dessous:

Les magouilles de l’IGGN impliquée dans une escroquerie au jugement dénoncée par le président de l’AFAR. En voici les preuves! Pour lire l’article, cliquer (ICI)

Éthique et déontologie de l’IGGN: Vérifications et conclusion. Pour lire l’article, cliquer (ICI)

AFFAIRE GUEDON: La vraie nature de l’IGGN. C’est l’hôpital qui se fout de la charité! Pour lire l’article, cliquer (ICI)

«AFFAIRE GUÉDON Gérard» L’IGGN capable du pire, nous le savions. Nous attendons toujours le meilleur! Pour lire l’article, cliquer (ICI)

«AFFAIRE GUEDON» LE RAPPORT ÉTABLI PAR LE N° 2 DE L’IGGN PRODUIT DANS L’URGENCE AU SOUTIEN DES INTÉRÊTS DU COLONEL COLLORIG DANS SA PLAINTE EN DIFFAMATION. Pour lire l’article, cliquer (ICI)

PLAINTE POUR DIFFAMATION DU DGGN: RÉVÉLATIONS : JOUR «J+1» Les manœuvres frauduleuses des enquêteurs de l’IGGN.  Pour lire l’article, cliquer (ICI)

Le colonel COLLORIG produit en justice un rapport embarrassant pour beaucoup de monde…  Pour lire l’article, cliquer (ICI)

Ce fait n’est pas nouveau et l’histoire même de la gendarmerie démontre sans équivoque possible, que régulièrement des services de gendarmerie ou d’autre nature, sont intervenus sur ordre pour tenter de régler une problématique en dehors de tout cadre légal. (La gendarmerie sous Vichy arme de la collaboration: Des gendarmes ont fusillé des résistants  – Affaire LABOURDETTE (Trafic d’arme au Liban – Affaire Trafic de voitures : les « gendarmes de Rivesaltes » reviennent devant les juges – Affaire des Irlandais de Vincennes – «Incendie de la paillote chez Francis» – scandale de l’arsenal de Toulon, etc… ).  

Pour chercher une police parallèle, rien de plus simple que de l’intégrer aux institutions elles-mêmes.

Pour comprendre cette stratégie, il suffit pour s’en convaincre et par exemple de faire une simple analogie avec les méthodes courantes employées par les trafiquants de stupéfiants qui plantent des pieds de cannabis en pleine nature, près d’un plan d’eau. Du vert dans un milieu naturel végétal, c’est invisible. En cas de découverte, les investigations seront plus difficiles pour identifier les auteurs car nécessitant de dispositifs de surveillance physique et technique, etc….

Pour les polices parallèles, c’est pareil, il est toujours très difficile d’enquêter dans son propre milieu contre des enquêteurs de niveau supérieur, ripoux, puisqu’ils bénéficient de tous les pouvoirs et de tous les soutiens pour déroger aux règles et agir dans l’ombre en toute impunité.

C’est ainsi, que le travail associatif de l’AFAR (Association des Forces Armées Réunies) a démontré preuves à l’appui, des pratiques déloyales et illégales institutionnalisées et couvertes au niveau de la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale (DGGN).

Cela s’est révélé exact dans tous les dossiers traités par l’AFAR où des militaires ont tenté de dénoncer des pratiques illégales:  violences aggravées commises par des militaires de la gendarmerie, entrave à l’action de la justice dans des affaires sensibles: à caractère politique ou dans le domaine de l’aéronautique militaire, violation du secret de l’enquête, mettant en cause des sociétés d’une certaine importance en lien avec des militaires de l’arme ou mettant en cause des militaires de l’arme surtout lorsqu’il s’agit de gradés officiers et officiers généraux, etc…

A chaque fois qu’un militaire agit conformément aux règles de procédure, il est brisé, sanctionné, harcelé, psychiatrisé avec la complicité de médecins du Service Santé des Armées, allant parfois même jusqu’à le pousser au suicide. C’est le cas du Président de l’AFAR et de trois autres militaires dont deux de la gendarmerie mis en ligne. Nous avons de nombreux autres cas de même nature dont nous conservons la confidentialité  à la demande des intéressés.

Dans tous les dossiers  traités par l’AFAR  soutenus par des preuves flagrantes et incontestables que nous détenons et ce, malgré l’information de la DGGN, les enquêtes sont conduites de manière partiale, à charge contre ceux qui osent respecter le droit. Rien n’est épargné, les faux en écriture dans les enquêtes sont légion et nous sommes à même de le prouver par des enregistrements sonores, des documents écrits et des pressions sur les témoins entendus.

Lorsque les témoins sont favorables à la victime, ils sont écartés et jamais entendus, ce qui a été le cas du président de l’AFAR, cité plusieurs fois par des victimes et systématiquement écarté par les enquêteurs de l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale (IGGN).

Même Madame KHERIS Sabine, doyen des juges d’instruction près le TGI Paris, dont la probité ne saurait être remise en cause, auteur de deux lettres adressées à l’Adjudant-chef GUEDON prouvant les mensonges du colonel Laurent COLLORIG condamné le 6 février 2018 par le TGI de VERSAILLES, n’a pas  été entendue.

COLLORIG

Pour lire la condamnation du colonel Laurent COLLORIG,  cliquer sur le lien ci-dessous:

Délibéré Versailles 6 fevrier 2018

Pour lire les lettres de Mme KHERIS doyen des juges d’instruction, cliquer sur les liens ci-dessous:

Lettre JI a GUEDON 6 mars 2018

Lettre Mme KHERIS en date du 5 juillet 2017 au DGGN

Là encore, les rapports constituant des faux en écriture de l’IGGN produits en justice pour tromper la religion du juge sont constitutifs d’une tentative d’escroquerie au jugement, pratique hélas courante, grand classique.

A la vérité des victimes, il est ainsi opposé des mensonges, des légendes écrites de toutes pièces. C’est la double peine pour les victimes. Confrontées à ce choc systémique, passant du statut de victime à celui de fauteur de trouble, elles passent parfois  à l’acte par ce geste ultime qu’est le suicide. Ces pratiques d’un autre temps sont en conséquence criminelles!

Là encore, les enquêtes diligentées au service de l’institution dédouanent les responsables et démontrent sur des conclusions péremptoires  qu’il n’y a aucun lien avec le service malgré l’évidence des faits. Les familles endeuillées sont isolées malgré un accompagnement de circonstance.

C’est l’injustice à tous les étages. L’institution répond par des commissions, des plans, des dispositifs d’accompagnement qui n’ont aucun pouvoir et sont à la solde de la Direction Générale qui peut ainsi continuer à poursuivre en toute quiétude ses agissements bénéficiant d’une totale impunité en couvrant des délinquants qui comme dans l’affaire BENALLA sont promus au grade supérieur, décorés et remerciés par une mutation de leur choix parfois même outre-mer, ce qui permet de thésauriser au soleil et de faire des annuités pour sa retraite, tout cela au frais de l’Etat sur le dos du contribuable comme dans l’affaire BENALLA !

Il existe bel et bien une police parallèle au sein même de la Gendarmerie Nationale. L’AFAR et Armée média se tiennent à la disposition des députés et des sénateurs pour démontrer et prouver l’existence de cette police parallèle interne à la Gendarmerie Nationale.

L’affaire BENALLA est une évolution malsaine d’un système déjà bien gangrené qu’il faut en urgence réformer avec des garanties d’impartialité. Les responsables ne peuvent plus être à la fois juges et parties. C’est cela le dérapage de nos institutions, les pleins pouvoirs!

Ce type de système ne peut exister qu’avec l’aval des hautes autorités gendarmerie et certainement au delà, à tous les niveaux qui couvrent ces agissements s’ils ne les commandent pas eux-mêmes!

Ces méthodes sont dignes des dictatures et non pas d’une démocratie. Est-ce cela une République inaltérable, Monsieur le Président de la République? Vous avez des preuves de l’impunité  dont bénéficient de hauts responsables de la Gendarmerie Nationale. Qu’allez-vous faire?  Allez-vous passer des paroles aux actes, nous attendons avec impatience!   

Les faits dénoncés par l’AFAR et Armée média sont connus de tous au sein de cette institution mais c’est le commandement par la terreur qui a étouffé et étouffe cette vérité qui finit par tuer des militaires sensibles aux valeurs de leur engagement. Ils paient le prix fort du sacrifice de leur vie pour avoir respecté le droit et rien que le droit.

Allez-vous entendre enfin cette vérité car des militaires meurent chaque jour pour servir la Nation!

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