« Nouvelle propagande de M. Alain DUMAIT, directeur de l’ESSOR de la Gendarmerie Nationale»

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« Nouvelle propagande de M. Alain DUMAIT, directeur de l’ESSOR de la

Gendarmerie Nationale»

L essor

Faisant suite à notre précédent article intitulé «Plainte en diffamation du DGGN. Propagande de désinformation avec la complicité de l’ESSOR de la Gendarmerie » pour lire l’article cliquer (ICI) et du droit de réponse adressé à M. Alain DUMAIT, directeur de l’Essor de la gendarmerie nationale, pour lire l’article cliquer (ICI), M. DUMAIT a mis en ligne le 29 juin 2018 , un article que nous reprenons ci-après et que vous pouvez consulter en cliquant (ICI):

Droit de réponse de Paul Morra

29 juin 2018 Société Laisser un commentaire

Suite à notre post du 25 juin, <https://lessor.org/le-patron-des-gendarmes-assigne-en-diffamation-un-lieutenant-qui-demande-lindulgence-du-tribunal/>, le lieutenant Paul Morra, mis en cause, nous somme de publier un droit de réponse.

Il conteste que lui ou son avocat ait demandé l’indulgence du tribunal (ce que Maître Sophie Canadas-Blanc nous avait pourtant elle-même indiqué…), et il tient à préciser qu’il n’a jamais accusé le général Lizurey d’avoir commis un délit d’escroquerie, mais seulement de l’avis couvert…

Dont acte.

Comme par ailleurs, à la date du 26 juin, le sieur Morra accuse l’Essor de “complicité de désinformation”, nous en resterons là, pour notre part.

Alain Dumait

Directeur de l’Essor de la Gendarmerie

Mensonge

Cet article est un nouveau mensonge de ce média et de son directeur, ce que nous allons démontrer ci-après :

En premier lieu, pour démontrer la mauvaise foi de M. Alain DUMAIT, directeur de « l’ESSOR de la gendarmerie nationale », il ne s’agit pas d’un droit de réponse conforme à l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur le liberté de la presse. Un journaliste qui bafoue le droit et la liberté de la presse c’est un comble! Extrait de cet article de loi:

« Le directeur de la publication sera tenu d’insérer dans les trois jours de leur réception, les réponses de toute personne nommée ou désignée dans le journal ou écrit périodique quotidien sous peine de 3 750 euros d’amende sans préjudice des autres peines et dommages-intérêts auxquels l’article pourrait donner lieu. »

A aucun moment, le droit de réponse de Paul MORRA n’a été inséré conformément à la loi, ce qui fait de M. DUMAIT, un hors la loi et un menteur manipulateur !

(…)

« Cette insertion devra être faite à la même place et en mêmes caractères que l’article qui l’aura provoquée, et sans aucune intercalation. »

Là encore, M. DUMAIT vous êtes un hors la loi et un menteur manipulateur !

« Non compris l’adresse, les salutations, les réquisitions d’usage et la signature qui ne seront jamais comptées dans la réponse, celle-ci sera limitée à la longueur de l’article qui l’aura provoquée. Toutefois, elle pourra atteindre cinquante lignes, alors même que cet article serait d’une longueur moindre, et elle ne pourra dépasser deux cents lignes, alors même que cet article serait d’une longueur supérieure. Les dispositions ci-dessus s’appliquent aux répliques, lorsque le journaliste aura accompagné la réponse de nouveaux commentaires. »

Là encore, vous êtes un hors la loi, M. DUMAIT et un menteur manipulateur !

« La réponse sera toujours gratuite. Le demandeur en insertion ne pourra excéder les limites fixées au paragraphe précédent en offrant de payer le surplus.

La réponse ne sera exigible que dans l’édition ou les éditions où aura paru l’article.

Sera assimilé au refus d’insertion, et puni des mêmes peines, sans préjudice de l’action en dommages-intérêts, le fait de publier, dans la région desservie par les éditions ou l’édition ci-dessus, une édition spéciale d’où serait retranchée la réponse que le numéro correspondant du journal était tenu de reproduire. »

(…)

Voilà quelques éléments de réponse au directeur d’un journal qui se prétend journaliste. Peut-être l’avez-vous été un jour? Votre prédécesseur, Jacques REVISE était d’une autre stature, nous pouvons vous l’affirmer pour l’avoir rencontré !

Plutôt que de publier de fausses informations, assumer de rouler pour la DGGN et de faire sa propagande. Vous êtes incapable de respecter le droit et la liberté de la presse. Pour un journaliste, c’est honteux, inconséquent, pitoyable!

Un droit de réponse, ce n’est pas votre réponse même si vous aviez la possibilité de  commenter ce droit de réponse que vous ne respectez pas et qui vous dérange manifestement!

Maître CANADAS-BLANC Sophie, avocate de Paul MORRA, a été contactée ce matin par téléphone et a démenti la teneur de vos propos la concernant, réinterprétés et simplifiés à outrance sans avoir repris l’esprit ni même la teneur de ce qu’elle a exprimé à son interlocuteur. Elle vous a fait état d’éléments de sa plaidoirie non repris par vous à dessein et a fait remarquer à son interlocuteur que personne de votre journal n’était à l’audience. Même en matière de respect des propos de vos sources, vous êtes un incapable!

Portez plainte et nous ferons citer Maître CANADAS BLANC à l’audience. Ce sera à vous de prouver vos affirmations mensongères contenues dès le titre de votre article imputant des propos au lieutenant Paul MORRA qu’il n’a jamais tenus. Cela fait de vous un grossier menteur à minima et un manipulateur des médias assurément! 

Les faits majeurs de l’audience dont un incident attaquant la nullité de la procédure a été volontairement occulté par vous. Vous prétendez faire de l’information et vous manipulez l’opinion. C’est tout sauf un travail de journaliste! 

Voilà en quelques mots, M. Alain DUMAIT, ce que vous avez fait. La DGGN saura vous remercier par quelques interviews certainement et autres cocktails accompagnés de petits fours. Le journalisme, le vrai, c’est son indépendance et non pas la compromission!

Continuez à désinformer vos lecteurs, « Armée média, le journal de l’AFAR » veille à informer preuves à l’appui, ce que vous et votre journal être incapables de faire. Bientôt ce sera la rubrique des chiens écrasés certainement…

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