COMMUNIQUÉ JUDICIAIRE DU 5 AOÛT 2020 POUR UNE DURÉE DE 30 JOURS. EXECUTION PROVISOIRE JUGEMENT NON DEFINITIF
COMMUNIQUÉ JUDICIAIRE DU 5 AOÛT 2020
POUR UNE DURÉE DE 30 JOURS.
EXECUTION PROVISOIRE JUGEMENT NON DEFINITIF
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«M. Paul MORRA condamné pour diffamation à l’encontre de M. Laurent COLLORIG.
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Par jugement en date du 23 juillet 2020, le tribunal correctionnel de Perpignan a condamné M. Paul MORRA pour avoir diffamé M. Laurent COLLORIG à l’occasion de plusieurs textes publiés sur le site internet www.armée-média.com les 29 septembre, 02 octobre 2017 et 19 août 2018.
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Le tribunal correctionnel de Perpignan a ordonné en conséquence la publication du présent communiqué et a condamné M. Paul MORRA à une amende ainsi qu’à indemniser le préjudice subi par Laurent COLLORIG».
8 août 2020 - 16 h 06 min
Au regard de la période que nous traversons, axée sur l’inversement totale des valeurs, ce jugement de Cour condamnant le capitaine Paul Morra pour, paraît-il, un fait de diffamation dont celui-ci serait à l’encontre d’un personnage qui a déjà été condamné lourdement à deux reprises pour des faits graves en relation directe avec cette affaire, il va sans dire qu’aux vues du dossier soutenu par le capitaine Morra, ces faits et jugement laissent à penser que le Tribunal serait–il sous influence ???
Dès lors, en cet instant où, si quelqu’un rempli son devoir avec honnêteté celui-ci est considéré comme un nuisible, car, il va à l’encontre de la bien-pensance satanique actuelle, les exemples sont légions dont ici le chemin de croix subi par le capitaine Cédric Fusina soumis aux intrigues pestilentielles de sa hiérarchie, or, cerise sur le gâteau, lorsque l’on assiste éberlué par les postions de la ministre de la justice, à la libération dans la nature de 13.700 criminels, dont 130 des pires djihadistes.
Que dire et penser lorsque cette même justice remet en liberté de gros dealers, des criminels, des violeurs ou des assassins à peine arrêtés par les Forces de l’Ordre, on peut légitimement se poser des questions sur des verdicts qui tiennent plus de la Cour des miracles que d’une quelconque probité.
Espérons qu’avec la venue du nouveau ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti celui-ci donnera une impulsion salvatrice qui redonnerait à juste titre espoir en une institution qui a brillé par ses illuminations avec « le mur des cons… », vaste programme qui fut mis sous les feux de la rampe dès 1945 dans un texte titré « Les Mensonges d’Ulysse » rédigé par le défunt Député Communiste, Déporté dans les camps de la mort, analysant au microscope les turpitudes de cette administration qui vit sous le signe de… « la balance… ».
Christian Sébenne