INTERDICTION DE L’HYDROXYCHLOROQUINE : QUAND OLIVIER VÉRAN PATAUGE Par PHILIPPE PRIGENT
INTERDICTION DE L’HYDROXYCHLOROQUINE :
QUAND OLIVIER VÉRAN PATAUGE
Interdiction de l’hydroxychloroquine ? un échec juridique
Par Philippe Prigent, avocat au Barreau de Paris
La messe est dite selon quasiment tous les media : il est désormais interdit de prescrire l’hydroxychloroquine (HCQ) aux malades atteints de la covid19.
On n’entrera pas ici dans le débat médical où l’auteur de ces lignes applique la maxime socratique « la seule chose que je sais est que je ne sais rien ». Il existe en revanche un problème juridique : le Gouvernement a-t-il vraiment réussi à interdire juridiquement la prescription de Plaquenil pour traiter le covid19 ?
« Spoiler alert », comme on dit avant de raconter la fin d’un film, c’est le même gouvernement qui ne sait pas commander des masques, des tests ou des respirateurs adaptés aux patients atteints de la covid19[1].
Le droit de la prescription d’un médicament repose sur une règle simple : toutes les substances ne sont pas autorisées à la vente comme spécialité pharmaceutique mais une substance autorisée à la vente peut être employée à autre chose que ce qui a justifié l’autorisation de mise sur le marché. D’une part, un pharmacien ne peut fournir une substance que si elle a reçu une autorisation de mise sur le marché car à défaut cette substance n’est pas une spécialité pharmaceutique et donc ne peut être vendue dans le pays. Plusieurs substances ne reçoivent jamais cette autorisation et donc ne peuvent jamais être vendues ; c’est le cas de nombreux proto-médicaments jugés trop dangereux et donc jamais autorisés. La chloroquine dispose d’une autorisation de mise sur le marché de longue date, raison pour laquelle elle est l’une des substances les plus consommées au monde.
Mais comment l’autorisation de mise sur le marché est-elle accordée ?
Le processus consiste à démontrer que la spécialité pharmaceutique peut être bénéfique dans au moins une indication. Aucun médicament n’est utile ou bénéfique contre toutes les maladies et à tous les stades de son évolution mais dès lors qu’il est utile dans une indication, il reçoit l’autorisation de mise sur le marché car par hypothèse il est utile au moins dans certaines situations. Par exemple, l’HCQ est autorisée de longue date car son efficacité contre le paludisme est démontrée mais elle aggrave l’état de santé des patients atteints de chikungunya. En droit, un médicament ne peut avoir que deux statuts : soit il bénéfice d’une autorisation de mise sur le marché, soit il n’en bénéfice pas. Il n’y a pas d’entre deux.
D’autre part, un pharmacien qui reçoit une ordonnance doit en principe fournir la substance demandée sans savoir à quoi elle sera utilisée – même si par expérience il peut la déduire de la combinaison des substances figurant sur l’ordonnance. Si un médecin prescrit un médicament dans un autre cas que celui prévu par l’autorisation de mise sur le marché, le pharmacien ne pourra refuser de fournir le médicament car en droit il est censé ignorer la maladie dont souffre le patient. Qui sait s’il ne souffre pas d’une variante de la maladie qui a justifié l’autorisation de mise sur le marché ? Quand un patient réclame de l’HCQ au vu d’une ordonnance, qui sait s’il ne souffre pas de paludisme ou de lupus (qui justifient sa mise sur le marché) ?
Plus généralement, aucune loi n’interdit à un médecin de prescrire un médicament autorisé en France dans un autre cas que celui qui a justifié l’autorisation de mise sur le marché (AMM). L’exemple le plus célèbre est le viagra, qui a seulement reçu une AMM afin de traiter l’angine de poitrine mais qui est bien plus fréquemment utilisé dans une autre indication… Déclarer « Je consomme fréquemment du viagra » conduit rarement votre entourage à vous demander des nouvelles de votre angine.
La principale caractéristique de la prescription en dehors de l’indication qui a justifié l’autorisation de mise sur le marché est que le médecin engage sa responsabilité en cas d’échec, tandis que le médecin qui prescrit selon l’AMM n’est en principe pas responsable (il a seulement suivi les consignes).
Par hypothèse, le médicament n’a pas été conçu pour l’usage hors AMM (même s’il peut très bien fonctionner, comme le viagra) et l’administration n’a pas protégé les médecins des conséquences de la prescription en jugeant après examen attentif que la substance pouvait être utilisée dans ce cadre.
La règle est exposée par l’article L 5121-12-1 du Code de la santé publique :
« I.-Une spécialité pharmaceutique peut faire l’objet d’une prescription non conforme à son autorisation de mise sur le marché en l’absence de spécialité de même principe actif, de même dosage et de même forme pharmaceutique disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation dans l’indication ou les conditions d’utilisation considérées, sous réserve qu’une recommandation temporaire d’utilisation établie par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé sécurise l’utilisation de cette spécialité dans cette indication ou ces conditions d’utilisation. Lorsqu’une telle recommandation temporaire d’utilisation a été établie, la spécialité peut faire l’objet d’une prescription dans l’indication ou les conditions d’utilisations correspondantes dès lors que le prescripteur juge qu’elle répond aux besoins du patient. La circonstance qu’il existe par ailleurs une spécialité ayant fait l’objet, dans cette même indication, d’une autorisation de mise sur le marché, dès lors qu’elle ne répondrait pas moins aux besoins du patient, ne fait pas obstacle à une telle prescription.
En l’absence de recommandation temporaire d’utilisation dans l’indication ou les conditions d’utilisation considérées, une spécialité pharmaceutique ne peut faire l’objet d’une prescription non conforme à son autorisation de mise sur le marché qu’en l’absence d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation et sous réserve que le prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient ».
Mais venons au Plaquenil qui déchaîne les passions.
Jusqu’à la mi-mars 2020, l’hydroxychloroquine n’avait reçu aucune autorisation de mise sur le marché pour traiter la covid19. C’est tout à fait naturel car la maladie est apparue fin 2019 et la chloroquine est bien plus ancienne. Il n’y avait aucune raison d’autoriser la mise sur le marché de l’HCQ ou d’un autre produit pour traiter une maladie dont on ignorait l’existence.
Le Professeur Raoult et plusieurs autres praticiens ont alors employé la chloroquine puis l’HCQ pour traiter des patients de covid19, hors autorisation de mise sur le marché. D’autres substances ont aussi été employées sans AMM car par hypothèse elles n’avaient pas davantage été autorisées pour traiter cette maladie très récente. Ces praticiens se trouvaient précisément dans le cadre prévu par l’article L 5121-12-1 alinéa 2 du Code de la santé publique : aucun médicament ne bénéficiait d’une AMM pour traiter la covid19 (c’est toujours le cas aujourd’hui) et les prescripteurs jugeaient indispensables le recours à cette substance (ce qui relève de leur appréciation en leur âme et conscience). Aucun acte administratif n’était nécessaire pour autoriser la prescription d’HCQ ou d’ailleurs d’autres substances autorisées sur le marché.
Le Gouvernement a ensuite adopté un décret du 23 mars 2020 modifié le 26[2] selon lequel : « Par dérogation à l’article L. 5121-8 du code de la santé publique [l’article qui impose qu’une substance dispose d’une autorisation pour être mis sur le marché], l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile. Ces prescriptions interviennent, après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut conseil de la santé publique et, en particulier, de l’indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d’une défaillance d’organe ».
Cet article ajoute une faculté de prescrire l’HCQ dans un certain cas et à certaines conditions. Il ne supprime rien, il ajoute au droit existant. Le Conseil d’Etat a d’ailleurs confirmé par une ordonnance du 22 avril que les médecins de ville pouvaient prescrire l’HCQ.[3] Cet article dérogatoire a été repris à l’article 19 du Décret n° 2020-548 du 11 mai 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.
Les conséquence de l’étude du Lancet.
Le 22 mai 2020, une étude publiée dans le journal The Lancet exposait qu’à partir de l’examen de données agrégées, l’HCQ était peut-être inutile ou néfaste et qu’il était opportun de poursuivre les essais pour conclure de façon certaine au sujet des interactions entre la covid19 et cette substance. Le 27 mai, le Gouvernement a annoncé qu’il abrogeait les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le coronavirus à l’hôpital. La presse s’en est emparée pour exposer que l’HCQ était désormais interdite pour traiter la covid19.
Résumons-nous : (i) avant le 23 mars 2020, les médecins pouvaient prescrire l’HCQ aux patients atteints de covid19 (sous leur responsabilité), (ii) deux décrets successifs ont ajouté une faculté supplémentaire de prescrire de l’HCQ face aux covid19 et (iii) cette faculté supplémentaire vient d’être abrogée. On en revient donc au droit au vigueur en dehors de ces décrets dérogatoires, par exemple le droit du 15 mars 2020 : une substance disposant d’une AMM peut être prescrit indépendamment de tout décret qui autorise sa prescription.
Comme l’HCQ ne dispose pas d’une AMM spécifique pour la Covid19, les médecins qui la prescrivent pour cette maladie le font sous leur propre responsabilité, dans le cadre de leur liberté fondamentale de prescription. C’est-à-dire qu’ils répondront des éventuelles conséquences néfastes de son administration, en particulier devant le juge pénal et le juge civil si le traitement s’avère néfaste. Si l’on est partisan de l’HCQ, on ne doit pas s’en inquiéter puisque par hypothèse on estime que le traitement est bénéfique. Et si le traitement est néfaste, il n’y a aucune raison de couvrir les médecins qui l’auront prescrit imprudemment en autorisant la mise sur le marché de l’HCQ pour traiter la covid19.
Conclusion
le Gouvernement prétend avoir interdit l’HCQ pour traiter les patients atteints de covid19 mais il a échoué.
François Mitterrand disait qu’en cas de doute il fallait plutôt parier sur l’incompétence que sur le machiavélisme ; l’auteur de ces lignes tend à approuver ce point de vue mais le débat est ouvert.
[1] https://www.lepoint.fr/economie/respirateurs-la-cgt-parle-de-scandale-d-etat-29-04-2020-2373527_28.php
[2] Décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire
[3] https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?idTexte=CETATEXT000041820848&fastReqId=2027460062&fastPos=3&oldAction=rechExpJuriAdmin
____________________________________________
- Affaire GUEDON: Que vaut la parole du Général GUICHARD, commandant la Gendarmerie de l’Air?
- MACRON EST CLAIR : « JE RÉPRIME, ET DÈS QUE C’EST CONSOLIDÉ JE RÉATTAQUE ». 20 MARS 2019 – RÉGIS DE CASTELNAU
- Policier de Toulon frappant des manifestants : «Il ne sait pas se maîtriser»
- AFFAIRE AREVA : LA MONSTRUEUSE AMENDE QUI MENACE LA FRANCE – THIERRY GADAULT PUBLIÉ LE 27/09/2018
- ATTEINTES AUX LIBERTÉS PUBLIQUES : DES MAGISTRATS À LA MANŒUVRE
3 août 2020 - 8 h 52 min
Le professeur Christian Perronne dénonce une corruption mondiale…
http://www.youtube.com/watch?v=UaUW3c9NoD0
L’heure est tellement grave que le Général Dominique Delawarde vient de mettre en lumière une nouvelle interview sur Sud-Radio du professeur Christian Perronne (onze minutes). Le délicat sujet de la corruption des élites par Big Pharma y est clairement abordé.
En un mot : « Il faut foutre un coup de pied dans la fourmilière. »
Gouvernement, OMS, Bill Gates : Le professeur Christian Perronne se lâche et dénonce une corruption mondiale…
GÉNÉRAL DOMINIQUE DELAWARDE
Ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’État major interarmées de planification opérationnelle
Source :
https://reseauinternational.net/le-professeur-christian-perronne-denonce-une-corruption-mondiale/
Christian Sébenne
17 juillet 2020 - 20 h 08 min
addendum
Les combats que livrent le lobby Bigpharma contre l’usage de l’Hydroxychloroquine dont le professeur Didier Raoult défend la justesse médicamenteuse et les bienfaits de ce traitement, d’ailleurs quasi centenaire, utilisé par des millions de personnes, ce traitement s’est donc trouvé interdit à la vente suite à la décision de la ministre A. Buzyn classant l’Hydroxychloroquine comme étant un produit vénéneux.
On se souviendra longtemps dans la foulée, des admonestations de la grande prêtresse, contrôlée sous pôle emploi de Bigpharma que fut Agnès, la Buzynesswoman en totale levi-ta-sion, rendant obligatoire sous injonction d’amendes et de peines de prisons la vaccination de 11 vaccins dès la naissance aux nouveaux-nés… ceci n’était qu’un prologue pour nous imposer de force, le vaccin du Covid19.
https://www.lci.fr/sante/11-vaccins-obligatoires-des-le-1er-janvier-2018-que-risquez-vous-si-vous-refusez-de-vacciner-votre-enfant-2058200.html
Donc, dans un tel contexte d’eugénisme forcené, il fut décrété que ceux qui refusaient la vaccination sont des criminels… on hallucine, mais, au regard du feuilleton bolchévique/nazi de l’OMS et de la Bill Gates corporation responsable direct de millions de morts suite à « ses » vaccins dans divers pays, plus que jamais il faut avoir à l’esprit les faits dramatiques suivants :
LES CRIMINELS BOLCHÉVIQUES/NAZIS DE L’OMS ET DES GOUVERNEMENTS, QUI TENTENT D’IMPOSER AUX POPULATIONS UN VACCIN MEURTRIER BOURRÉ DE POISONS, OSENT SE PERMETTRE À PRÉSENT DE CONSIDÉRER QUE TOUTE PERSONNE QUI REFUSERA LA VACCINATION SERA CONSIDÉREE COMME « CRIMINELLE »
Pour information, voici ce que l’on trouve dans les vaccins qu’ils administrent aux bébés dés l’âge de 2 mois. (Doses injectées dans les 6 premières années d’un enfant vacciné)
• 17,500 mcg-phénoxyéthanol (antigel)
• 5,700 mcg d’aluminium (neurotoxine)
• Quantité inconnue de sérum bovin foetal (sang de vache avorté)
• 801.6 mcg de formaldéhyde (cancérogène, agent embaumement)
• 23,250 mcg de gélatine (carcasse d’animaux moulu)
• 500 mcg d’albumine humaine (sang humain)
• 760 mcg de L-glutamate monosodique (provoque l’obésité et le diabète)
• Quantités inconnues de cellules MRC-5 (bébés humains avortés)
• Plus de 10 mcg de néomycine (antibiotique)
• Plus de 0.075 mcg de polymyxine B (antibiotique)
• Plus de 560 mcg de polysorbate 80 (cancérogène)
• 116 mcg de chlorure de potassium (utilisé en injection létale)
• 188 mcg de phosphate de potassium (agent d’engrais liquides)
• 260 mcg de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude)
• 70 mcg de borate de sodium (Borax, utilisé pour le contrôle des cafards)
• 54,100 mcg de chlorure de sodium (sel de table)
• Quantités inconnues de citrate de sodium (additif alimentaire)
• Des quantités inconnues d’hydroxyde de sodium (Danger) Corrosif)
• 2,800 mcg de phosphate de sodium (toxique pour n’importe quel organisme)
• Des quantités inconnues de phosphate de sodium monohydraté (toxique pour n’importe quel organisme)
• 32,000 mcg sorbitol (à ne pas injecter)
• 0.6 mcg streptomycine (antibiotique)
• Plus de 40,000 mcg de saccharose (sucre de canne)
• 35,000 mcg de protéines de levure (champignon)
• 5,000 mcg d’urée (déchets métaboliques provenant de l’urine humaine)
• Autres résidus chimiques et métaux lourds….
Fort de cet état des lieux vaccinal, je vous laisse imaginer qu’est-ce que sera la “soupe“ dans le vaccin contre le Co Vidé au bon soin de la Bill Gates-OMS Connexion…
De deux choses l’une : soit ce sont eux, soit c’est nous. Encore une chose, ces criminels ne sont pas des humains ils n’ont ni conscience ni cœur et donc ne ressentent aucune empathie envers quiconque sauf pour leurs semblables et encore.
Christian Sébenne
1 juin 2020 - 10 h 27 min
Alors que nous sommes des millions à avoir été soignés à base de L’HYDROXYCHLOROQUINE et ce depuis fort longtemps (des générations), tous ceux qui ont vécu outre-mer ont été traités avec de la quinine ou de la nivaquine etc… en ce qui me concerne je fus recueilli en plein coma paludéen au Niger en 1967, transporté à l’hôpital de Niamey où je fus soigné par le médecin Capitaine Henri Baup, ses soins me sauvèrent et au bout d’une quinzaine de jours de coma, je reprenais vie humaine avec ce cocktail de médicaments entre autres.
https://www.larevuedupraticien.fr/article/hydroxychloroquine-plaquenil-un-vieux-medicament-au-profil-toujours-tres-interessant
Mais cette tempête autour de L’HYDROXYCHLOROQUINE a plusieurs aspects, cache en réalité une guerre hybride pour nous mettre en esclavage, « nous “pucer“ par un vaccin mortifère » qui, regroupant diverses fonctions dont l’identité, carte vitale, carte bancaire etc… ce tout interconnecté pouvant être débranché si la personne ne répond pas aux critères de “l’ordre nouveau“, sans oublier ce qui était prévu au départ la dose de cyanure éliminant le quidam dès lors que l’oligarchie en aurait décidé ainsi, autrement dit le grand rêve de Jacques Attali d’exterminer les gens dès l’âge de 60 ans devenus inutiles selon ses dires.
La cerise sur le gâteau de ce vaccin étant sa connexion avec la 5G, qui plus est la 5G dont la particularité est sa capacité létale, mais ceci serait trop long à développer ici, cela dit, nous y sommes !
https://www.alterinfo.net/Etude-du-lien-entre-les-flambees-de-coronavirus-et-la-5G_a154873.html
Cette guerre menée par le cartel des « forces occultes » des industries pharmaceutiques plus connues sous le label de Bigpharma dont l’OMS que contrôle le pedocriminel Bill Gates (affaire Epstein), ceci représentant un marché juteux de nombreux milliards de dollars pour “pseudo vacciner“ tous les humains de la planète.
C’est donc dans ce contexte de génocide planifié de notre espèce par toutes ces mafias de Bigpharma, que l’on a découvert le professeur Didier Raoult , Docteur mondialement connu pour ses travaux et réussites prouvées, dont les bienfaits de L’HYDROXYCHLOROQUINE, itou reconnu par ses pairs.
C’est donc dans ce contexte que l’artillerie de nos exécutifs c’est déchainée par l’interface médiatique aux ordres de tous ces suppôts de Satan pour nous imposer par la force ces vaccinations de la mort, il suffit de faire un effort pour se souvenir avec quelle célérité la ministre de la Santé Agnès Buzyn a imposé les 11 vaccins mortifères chez les nouveaux nés et les enfants, on ne compte plus le nombre de naissances où les enfants naissent anormaux sans bras, sans jambes etc… il y a quelques années j’avais traité du “roman“ que sont les vaccins, même si le texte a subi quelques problèmes de logiciels, l’essentiel y est conservé :
http://www.alterinfo.net/Vaccination-obligatoire-en-marche-vers-l-extermination-de-masse_a138402.html
Bigpharma ne reculant devant rien, y compris les nombreux assassinats de médecins (une centaine à ce jour) osant se positionner contre les directives de ce Nouvel Ordre Mondial de l’élimination physique du troupeau de “mougeons“ très long à comprendre qu’on l’envoi à l’abattoir, or, tout ceci répond mot pour mot aux cahiers des charges que sont le Talmud et le Protocoles des Sages de Sion.
Pour résumer, cette crise du Covid 19 fut programmée humainement en laboratoire (dixit le professeur Luc Montagnier) tel que le Sida ou Ebola qui ont même bénéficié du soutien de la CIA et dotés de brevets d’inventions, cela étant, ce Covid19… le dix neuvième du genre, donc est un enfumage de la part de nos “zélites“ pour d’une part cacher la crise financière et la ruine qu’ils ont généré et, deuxio nous voler tous nos avoirs.
http://echelledejacob.blogspot.com/2020/05/prix-nobel-de-medecine-oui-le.html
Il est grand temps d’ouvrir les yeux, quand le pseudo pouvoir disait qu’il était en guerre, certes, mais il avait oublié de spécifier qu’il était en guerre contre le peuple, dès lors, c’est sur ces agissements criminels des consorts Buzyn, Véran et Macron qu’une plainte aurait été déposée à leur encontre pour crime contre l’humanité par environ 600 médecins
Christian Sébenne
6 juin 2020 - 3 h 58 min
Pour faire suite à l’article, en Médecine traditionnelle existe une plante : « l’Artemisia », cette plante venue de Chine a le don de soigner les gens contre de nombreuses infections dont le Covid, mais alors que là aussi , cette méthode naturelle a fait ses preuves et qu’elle peut sauver des millions de vies, à la grande surprise de tous, l’OMS n’en veut pas.
https://reseauinternational.net/cette-plante-peut-sauver-des-millions-de-vies-et-loms-nen-veut-pas/
Alors qu’à Madagascar a été mis au point un traitement très peu onéreux contre le Covid 19, (avec ironie on pourrait dire Covid/1984/Orwell) tout est mis en œuvre mondialement pour détruire dans l’œuf cette thérapie naturel, cependant, Andry Rajoelina, président de Madagascar sur France 24 démontrait le pourquoi « du problème du remède Covid-Organics, c’est qu’il vient d’Afrique ».
https://www.youtube.com/watch?v=0fc5e9d-cws
Ainsi donc dans un tel contexte, ceci va à l’encontre des intérêts du N.O.M, Bigpharma, l’OMS et Bill Gates qui veulent nous imposer leur vaccin-pucé dont le but est de nous traquer, et de nous anéantir à tous niveaux et si besoin est, la mort ! Avant son assassinat en 2007, Aaron Russo, ce Juif intègre avertissait depuis longtemps sur les visées, objectifs et ignominies très précises à notre encontre que préparaient les Rockefeller et consorts tel le puçage etc… ils l’ont fait assassiner.
https://www.youtube.com/watch?v=kkX3KslPKxg
Ainsi, la 5G est la synthèse de notre extermination, car l’écran de fumée et l’agitation fomentée autour de l’Arnaque du Covid-19 et des fake vaccins puçés, permet, après la pose génocidaire des compteurs LINKY, GAZPAR AQUARIUS et TELEO outils d’espionnages avec leurs micro caméras infrarouge, entre autres, et déjà de destructions massives de par leurs ondes électromagnétiques, car dans l’occultisme le plus total se met en place les « réémetteurs de la 5G », véritable grille pain électromagnétique, dont leurs poses permettra d’achever le travail mortifère des vaccins, à savoir, le contrat inouï et scandaleux signé par Macron avec le président chinois de la livraison de masques en contrepartie de la toile d’araignée qui couvrira tout le territoire donné à la société chinoise Huawei, souvenez-vous, que ce qui fait ici office de gouvernement a fait fermer notre usine de fabrication de masques etc…
https://resistance71.wordpress.com/2018/05/12/technologie-et-nouvel-ordre-mondial-les-antennes-4-et-5g-nanotechnologie-et-puce-rfid/
Il est déjà bien tard, mais jamais trop tard de comprendre pourquoi l’OMS et toute la Saga de Bigpharma dont le ministre Véran refusent systématiquement ces traitements simples qui pourraient sauver des millions de malades, il est grand temps de vous poser la question pourquoi diaboliser le professeur Didier Raoult et ses soins simples à base de L’HYDROXYCHLOROQUINE, que même Philippe Douste-Blazy ex-ministre de la Santé et Professeur de médecine prend la défense de cette thérapie.
Christian Sébenne