Affaire COLLORIG – GUEDON: Le mensonge érigé à l’état de religion. Les allégations du major MORINIERE infirmées par Pascal THEVENOT, Député-Maire de Vélizy-Villacoublay.
Affaire COLLORIG – GUEDON: Le mensonge érigé à l’état de religion.
Les allégations du major MORINIERE infirmées par Pascal THEVENOT,
Député-Maire de Vélizy-Villacoublay.
Le scandale du «Bistougate» dit «affaire Griveaux» serait-il le symptôme d’un mal qui ronge notre société à tous les niveaux?
La question se pose. Bien entendu, il ne s’agit pas ici, de réfléchir au plaisir procuré par l’onanisme et les comportements associés pour y parvenir, mais de s’interroger sur l’orgueil démesuré et la convoitise de certains individus atteints du syndrome de l’hubris. Rappelez-vous Gérard Collomb pointant le «manque d’humilité» de l’exécutif.
Selon le Larousse, l’hubris est tout ce qui, dans la conduite de l’homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance ; ou encore: Ivresse de la démesure provoquée par l’orgueil, par la passion et jugée répréhensible. Le syndrome d’hubris est la maladie du pouvoir qui rend fou:
La perte du sens des réalités, l’intolérance à la contradiction, l’abus de pouvoir, l’obsession de sa propre image, l’action et la parole à l’emporte-pièce, l’arrogance, la prétention, l’égotisme, la manipulation, le mensonge, le mépris, le manque d’intérêt pour tout ce qui ne le concerne pas, l’impossibilité d’éprouver de l’empathie avec le don de l’imiter, etc…
Dans notre précédent article intitulé: «Affaire COLLORIG – GUEDON: La liste des mensonges s’allonge de jour en jour. La preuve en direct avec le témoignage du major MORINIERE.», nous avions déjà démontré à l’appui d’une attestation établie par le Médecin-chef des Services hors classe BERTRAN Pierre Etienne, Directeur Interarmées du Service de Santé, un premier mensonge du major MORINIERE.
En effet, cet ancien supérieur hiérarchique direct de l’adjudant-chef GUEDON, alors son adjoint, a été entendu dans le cadre d’une enquête adminitrative par les «enquêteurs» de l’IGGN, Bureau des Enquêtes Administratives (BEA).
C’est une nouvelle allégation de ce même major qui nous permet d’établir une nouvelle fois, le caractère mensonger de son audition. Cette fois, c’est M. Pascal THEVENOT, Député-maire de Vélizy-Villacoublay qui infirme en totalité les accusations proférées par le major MORINIERE à l’encontre de l’adjudant-chef GUEDON.
Toujours dans le cadre de son audition, ce major s’est permis de tenir les propos suivants:
«J’ai aussi su que l’ADC GUEDON avait été verbalisé par la mairie de Vélizy, pour un stationnement sur un accès pompiers. Il est allé voir le maire en faisant état de sa fonction. Cela démontre bien le personnage.
Selon moi, si l’enquête lui est favorable, il va crier victoire, et si ce n’est pas le cas, il continuera.»
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Outre le caractère purement imaginaire et mensonger de ces propos reposant sur des ragots de basse-cour, indignes d’un major de gendarmerie, ce dernier ajoute in fine: «Selon moi, si l’enquête lui est favorable, il va crier victoire, et si ce n’est pas le cas, il continuera.»
Mais quel personnage êtes-vous donc major? Qui continue les ignominies? Posez-vous la question! L’inversion des rôles est une technique de manipulation si vous l’ignorez. Seriez-vous un manipulateur? Un peu d’introspection semble nécessaire.
Sur ce point, vous semblez aussi ignorer vos obligations en matière d’impartialité. Un petit rappel de droit qui vous fera le plus grand bien ainsi qu’à vos camarades!
Code de la Sécurité intérieure.
- Article R434-11
Le policier et le gendarme accomplissent leurs missions en toute impartialité.
Ils accordent la même attention et le même respect à toute personne et n’établissent aucune distinction dans leurs actes et leurs propos de nature à constituer l’une des discriminations énoncées à l’article 225-1 du code pénal.
Cette dernière phrase du major MORINIERE pour le moins ahurissante pour un enquêteur de section de recherches, signe elle-même, la partialité de son audition. Un témoignage orienté à dessein et à charge comme c’est le cas aurait du être d’emblée écarté. De simples vérifications auraient jeté un total discrédit sur ces propos infectes et indigestes.
La volonté de nuire à l’adjudant-chef GUEDON est manifeste. Elle se caractérise dans cette enquête administrative tant par la mauvaise foi des acteurs qui y ont participé que par les méthodes partiales d’investigations employées. Ce procédé est non seulement contestable mais illégal puisque constituant notamment des faux en écritures publiques pour lesquels, la justice saisie dans le cadre d’une plainte avec constitution de partie civile, sera amenée à se prononcer en temps opportun.
Pour ce type de personnalité, Sigmund Freud aurait certainement analyser une propension à rechercher une jouissance orgasmique dans le mal que l’on fait aux autres. Le cerveau ainsi stimulé, favorise la sécrétion de dopamine.
La «masturbation neuronale» n’est manifestement pas le bon moyen dans le cas d’espèce pour augmenter son taux de dopamine et rechercher l’orgasme. Il aurait été plus sage de s’en tenir à une «bonne vieille petite branlette classique» sans caméra bien sûr et l’orgasme recherché aurait été tout aussi bénéfique en disant moins d’insanités.
En psychologie, cette tendance maladive à accomplir des actes immoraux, agressifs est considérée comme de la perversité. Il y a certainement un cas d’étude en la matière…
Selon le cèlèbre adage de Sigmund Freud : «Soigner les pervers plutôt que leurs victimes».
Agir de la sorte est non seulement la preuve du machiavélisme de ces militaires qui osent tout pour protéger à tout prix leur chef mis en cause en détruisant un camarade, travailleur, honnête, enquêteur hors-pair reconnu tant par les magistrats que par les parties prenantes à ses enquêtes. Ces militaires sont manifestement atteints du syndrome d’hubris.
Une mythologie ne fait jamais une vérité!
Sur ce point, il est à noter que le témoignage du Président de l’AFAR (Capitaine Paul MORRA) a été volontairement écarté comme celui de Madame Sabine KHERIS, doyen des juges d’instruction près le TGI de Paris dont les deux courriers caractérisaient les mensonges éhontés du colonel COLLORIG, notamment dans son rapport de MOIS (Mutation d’Office dans l’Intérêt du Service tenant à la personne de l’adjudant-chef GUEDON) auquel, le major MORINIERE s’est vanté dans son audition d’avoir établi un compte-rendu sur la base d’un autre mensonge.
- Extrait:
«Je voudrais préciser qu’un rapport de MOIS a été établi par le COL COLLORIG, suite au comportement global de l’ADC GUEDON. J’ai moi-même rédigé un CR que j’ai remis au colonel, dans lequel je suis favorable au départ de l’adjudant-chef de l’unité. (…)
Là encore, ces allégations mensongères sont susceptibles de caractériser des faits de dénonciation calomnieuse.
Sur la prétendue visite de l’adjudant-chef GUEDON au Maire, la réponse cinglante de Pascal THEVENOT, Député-maire de Vélizy-Villacoublay est sans appel:
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Dans sa lettre d’accompagnement, l’édile ajoute même:
Après vérifications, (…)
Cette attestation ne saurait dès lors aucunement être remise en cause.
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Dans cette affaire, de nombreuses attestations prouvent les mensonges d’acteurs institutionnels gendarmerie à tous les niveaux qui ont notamment servi à harceler judiciairement l’adjudant-chef Gérard GUEDON, mais aussi Paul MORRA en diverses qualités dont ses fonctions associatives et de presse pour la défense des militaires notamment victimes de harcèlement.
Le politique revendique le droit à la vie privée quand il est personnellement touché, alors même que les militaires en sont encore à subir en toute impunité, chaque jour, des violations à leurs droits fondamentaux avec des méthodes dignes de l’affaire DREYFUS. A cette époque, l’adjudant-chef Gérard GUEDON et Paul MORRA auraient certainement été fusillés pour l’exemple comme tant d’autres.
Le témoignage du Député-maire Pascal THEVENOT est une preuve de l’engagement de certains élus pour la vérité.
Mesdames et messieurs les politiques, n’attendez pas d’être mis en cause pour légiférer, mais agissez pour défendre les droits de tous les citoyens dont les militaires font partie à part entière. Ne soyez plus complices de telles ignominies, car elles sont indignes de la République!
Voir aussi : Décision du Défenseur des droits n° 2018-266, cliquer sur le lien ci-dessous
Décision du Défenseur des droits n° 2018-266 impartialité
- Extrait:
«(…)le Défenseur des droits rappelle que la qualité principale d’une enquête dépend étroitement de l’impartialité objective et subjective de ceux qui la mènent, impartialité qu’assure, y compris au niveau des apparences, le traitement à distance des procédures susceptibles de mettre en jeu la responsabilité de fonctionnaires locaux.
Le Défenseur des droits considère donc que la fonction d’enquêteur et le statut de témoin dans une même affaire sont incompatibles, et alimente dans le cas d’espèce la suspicion sur le manque d’impartialité de l’enquête.
En conséquence, le Défenseur des droits relève à l’encontre du lieutenant-colonel B et du capitaine C un manquement aux dispositions de l’article R434-11 du code de la sécurité intérieure et recommande que ce texte leur soit rappelé.»
23 mars 2020 - 19 h 02 min
pour connaitre les mêmes méthodes dans la police nationale, tout mon soutien
ils ne savent que faire des rapports mensongers et la justice les couvre
dans quel monde vivons nous
courage
5 mars 2020 - 11 h 51 min
Comment peut-on se comporter de la sorte pour protéger un supérieur indélicat envers son subordonné ? Un collaborateur actif ! Quels étaient ses intérêts ? Quand je vois la méthode employée, je suis totalement sidéré. J’espère, à titre personnel, que ce major soit sanctionné très sévèrement par le tribunal correctionnel lorsque cette affaire sera passera en jugement. La moindre des choses. en tout cas, tout le monde voit quel individu et chef que c’était.. Enfin « chef » non.Carriériste, arriviste et assurément menteur oui.
24 février 2020 - 12 h 09 min
À la place de ce major de gendarmerie, je ne serais pas tranquille. Tôt ou tard, il va devoir s’expliquer devant les magistrats en charge. Passablement compliqué !