Le colonel Laurent COLLORIG revendique une atteinte à son honneur dans une troisième procédure par citation directe devant le TC de Perpignan pour diffamation.
Le colonel Laurent COLLORIG revendique une atteinte à son honneur dans une troisième
procédure par citation directe devant le TC de Perpignan pour diffamation.
Par citation directe (Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse) en date du 16 novembre 2018, le colonel Laurent COLLORIG met en cause Paul MORRA, en son nom propre, pour diffamation, toujours pour les mêmes faits et pour la troisième fois consécutive.
Pour ce nouveau contentieux au pénal, il est représenté par Maître Christophe BIGOT, avocat au Barreau de PARIS, également avocat du Général d’Armée Richard LIZUREY, Directeur Général de la Gendarmerie Nationale (DGGN), partie civile dans un autre contentieux judiciaire au pénal pour diffamation toujours contre Paul MORRA, visé également en son nom personnel, suite à des publications sur le site «Armée média, le journal de l’AFAR» rédigées en sa qualité de président de l’AFAR (Association des Forces Armées Réunies), qualité non mise en cause dans ces procédures à dessein, pour tenter d’exclure la liberté d’expression relative à la polémique syndicale dont doivent bénéficier les Associations Professionnelles Nationales de Militaires (APNM) au même titre que les syndicats. C’est un principe d’égalité qui ne saurait être remis en cause en droit interne français.
- Lire notre article intitulé:
Plainte du DGGN: Maître BIGOT, l’avocat des légendes, maître de la manipulation.
Cette dernière affaire est actuellement pendante devant la Cour d’Appel de Montpellier et ira certainement devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme après un éventuel pourvoi en cassation, car il s’agit de défendre le droit syndical des militaires pour lequel, la France a été condamnée par deux fois, le 2 octobre 2014, pour violation de l’article 11 de la Convention de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales qui malgré l’évolution juridique concernant les APNM n’est pas respecté et violé sans retenue, dans ces divers contentieux judiciaires pour entraver notamment la liberté d’expression et la liberté syndicale des militaires.
Rappelons que le colonel Laurent COLLORIG financé par la protection fonctionnelle, refusée par la DGGN à Paul MORRA, a esté à trois reprises en justice dont deux fois devant les juridictions civiles du TGI de VERSAILLES.
Il a été condamné définitivement une première fois le 6 février 2018 suite à un premier désistement accepté par les défendeurs.
- Lire notre article intitulé:
AFAR: 1 – Colonel Laurent COLLORIG: 0. Voilà ce qui arrive quand on attaque l’AFAR pour diffamation, une condamnation pour l’initiateur de la procédure.
Le colonel COLLORIG vient de se désister pour la seconde fois dans une deuxième instance au civil au TGI de VERSAILLES n’ayant jamais été en capacité de produire le moindre argument de droit ou document de nature à venir contredire les moyens de droit produits par les défendeurs. Le délibéré sera rendu le 17 septembre prochain. « Armée média, le journal de l’AFAR » ne manquera pas de vous tenir informés de cette décision dont l’issue ne fait aucun doute.
Les défendeurs ont remis en cause l’impartialité des deux rapports d’enquête administrative établis dans l’urgence, par l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale (IGGN), Bureau des Enquêtes Administratives (BEA). C’est ainsi qu’ils ont démontré aux juridictions de jugement civil à l’appui de très nombreux documents et attestations que ces deux rapports contenaient de nombreuses erreurs factuelles, des faits mensongers voire imaginaires.
- Lire nos articles intitulés:
«AFFAIRE GUÉDON Gérard» L’IGGN capable du pire, nous le savions. Nous attendons toujours le meilleur!
AFFAIRE GUEDON: La vraie nature de l’IGGN. C’est l’hôpital qui se fout de la charité!
C’est dans ces conditions que le colonel Laurent COLLORIG et son nouvel avocat spécialisé dans les contentieux en matière de diffamation, tente une nouvelle fois à l’appui de nouveaux stratagèmes, de propos péremptoires et de nouveaux mensonges de faire valoir une atteinte à son honneur. La DGGN semble être dans l’ombre de cette nouvelle action en justice contre Paul MORRA devenu la cible à abattre! Trois action en justice de suite pour tenter de faire taire un militaire qui dénonce des pratiques illégales au sein des armées et au sein de la Gendarmerie Nationale, c’est pour le moins inhabituel.
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Extrait de la citation:
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Sans préjudice des allégations sur les circonstances de motivation de la saisine du TC de Perpignan que conteste avec force Paul MORRA et qu’il démontrera en temps opportun devant la juridiction idoine, ci-dessous, quelques éléments sur l‘ATTEINTE A L’HONNEUR que prétend soutenir et revendiquer le colonel Laurent COLLORIG.
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Rappelons pour mémoire la définition du mot «HONNEUR».
«Ensemble de principes moraux qui incitent à ne jamais accomplir une action qui fasse perdre l’estime qu’on a de soi ou celle qu’autrui nous porte: Sens de l’honneur.
Sentiment de sa propre dignité, réputation: Attaquer l’honneur de quelqu’un.»
Selon le LAROUSSE, cet ensemble de principes moraux semble exclure toute action de nature à remettre en cause sa dignité, sa réputation. Dans ce cadre, il est légitime de penser qu’un homme d’honneur ne s’adonne pas aux mensonges mais qu’il s’emploie à défendre la vérité, ne met pas en cause autrui, notamment un magistrat dans l’exercice de ses fonctions pour justifier sa propre décision et encore moins, de produire des faux en écritures publiques obtenus par ailleurs illégalement sauf à démontrer le contraire.
- Lire notre article intitulé:
Production en justice des rapports de l’IGGN par le colonel Laurent COLLORIG: la réponse embarrassante de la DGGN.
Ci-dessous, quelques éléments factuels que vous serez à même d’approfondir en relisant les articles y afférents qui démontreront sans équivoque possible, les agissements de cet officier supérieur de gendarmerie.
Chacun sera ainsi à même de se faire sa propre opinion sur les agissements de ce colonel et de déterminer s’il est un HOMME d’HONNEUR. Tout le monde n’a pas la même conception de l’HONNEUR qui n’est pas une notion à géométrie variable.
« Armée média, le journal de l’AFAR » invite le colonel Laurent COLLORIG a nous faire part de ses propres observations et à nous expliquer sa conception de l’HONNEUR.
Ci-dessous, quelques éléments qui ne représentent qu’un petit panel des preuves détenues par l’AFAR et Armée média.
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Mensonge du colonel Laurent COLLORIG attesté par courrier de Madame Sabine KHERIS, doyen des juges d’instruction près le TGI de PARIS en réponse à la lettre lui ayant été adressée par l’adjudant-chef GUEDON sur le rapoort de mutation d’office (MOIS) tenant à sa personne établi par le colonel COLLORIG.
Extrait MOIS établie par le colonel COLLORIG
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Extrait lettre réponse Madame Sabine KHERIS, doyen des juges d’instructions près le TGI de PARIS.
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- Lire notre article intitulé:
«Sous-dossier GUEDON»: Un mensonge de plus pour le colonel COLLORIG attesté par Madame Sabine KHERIS, doyen des juges d’instruction près le TGI PARIS
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Extrait rapport d’enquête administrative 4654 du 23 octobre 2017 GEND/IGGN/BEA établi par le colonel ANIN, chef du Bureau des enquêtes administratives (BEA).
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La réponse du Conseiller Sécurité aérienne de la DGSCGC du Ministère de l’Intérieur – Armée de l’Air est cinglante et infirme l’allégation du colonel COLLORIG quant au fait que «La flotte CASA a failli être immobilisée au sol». La preuve d’un nouveau mensonge attesté par une autorité dont la légitimité ne saurait être remise en cause.
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¨Par ailleurs, la lecture des simples rapports public du BEAD-air-A-2014-009-I_(CASA TAHITI) et BEAD-air-A-2015-003-I, (CASA GUYANE), viennent apporter une réponse claire qui n’auraient pas dû échapper au colonel COLLORIG pourtant à l’époque, commandant d’une formation aéronautique spécialisée.
Concernant l’auto-saisine imaginaire arguée dans ce rapport, ci-dessous, un extrait d’un courriel émanant du Major (ER) MOLINER, ancien commandant de la brigade de gendarmerie de l’Air de Cayenne qui atteste de la saisine officielle de la Section de Recherches de la Gendarmerie de l’Air par le Parquet de CAYENNE ce qui vient infirmer une nouvelle fois le rapport du BEA de l’IGGN et établi un énième mensonges.
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Ce ne sont que quelques exemples qui nous permettent de nous interroger sur l’HONNEUR qu’entend faire valoir le colonel COLLORIG.
A chacun de se faire sa propre opinion sur le sens de l’HONNEUR.
7 septembre 2019 - 16 h 53 min
Bonjour à tous et à toutes.
Je suis scandalisé et outré par les agissements délictueux de cet « officier de gendarmerie ». Merci de nous renseigner avec autant de précisions.
Il est visiblement totalement incapable d’avoir une réflexion construite et argumentée en vue du bien-agir et du bien vivre. Je m’interroge également grandement aussi sur ses valeurs morales et ses principes moraux qui devraient orienter et guider humainement ses actions au quotidien dans différentes situations, tant au niveau professionnel que dans celui d’agir honnêtement conformément à la loi dans l’exercice de ses fonctions. Au regard des éléments communiqués et dont la preuve est rapportée, on peut dire qu’il est même à l’antipode des valeurs fondamentales qui doivent guider l’action de la police ou de la gendarmerie dans des sociétés dites » humainement évoluées ».
A la place de cet officier, j’aurais utilisé le « logiciel prédictif » pour éviter de commettre des infractions très graves, non pas pour prévenir les cambriolages, mais celles relatives aux actes contraires au devoir ou à la discipline, à l’honneur et à la vérité. Ghandi disait : Là où il n’y a le choix qu’entre lâcheté et violence, je conseillerai la violence. C’est dire l’attitude abjecte de l’intéressé de part ses mensonges aux conséquences juridiques d’une gravité extrême. L’homme lâche fuira toujours. C’est un fait. Bon courage à vous messieurs.
5 septembre 2019 - 18 h 51 min
L’honneur est bien galvaudé ces temps -ci …
Et ceux qui s’en drapent me font bien rigoler .
5 septembre 2019 - 13 h 02 min
Mentir de la sorte. Mais quelle honte ! Il est toujours visiblement en activité ce colonel avec un uniforme qu’il ne mérite pas de vêtir. Il a trompé les enquêteurs de l’IGGN et ces derniers n’ont rien vérifié.. Lamentable.