L’Adjudant-chef GUEDON demande des explications au Général GUICHARD commandant la Gendarmerie de l’Air.

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L’Adjudant-chef GUEDON demande des explications au Général GUICHARD commandant la Gendarmerie de l’Air.

Général guichard

Par courrier recommandé avec accusé de réception en date du 15 juin 2019, l’adjudant-chef Gérard GUEDON saisit  le Général Philippe GUICHARD, commandant la Gendarmerie de l’Air pour lui demander des explications sur la violation de ses droits légitimes caractérisée par des propos mensongers et des violences psychologiques sur personne vulnérable s’étant déclarée victime de harcèlement moral hiérarchique au travail.

Ce procédé rare et inhabituel pour un sous-officier de gendarmerie mérite d’être porté à la connaissance de nos chères lectrices et chers lecteurs qui suivent cette affaire afin que chacun puisse se faire sa propre opinion sur les pratiques managériales mises en oeuvre au sein des armées et au sein de la Gendarmerie Nationale.

« Armée Média, le journal de l’AFAR » se tient à la disposition du Général Philippe GUICHARD pour l’exercice d’un éventuel droit de réponse. 

  • Ci-après, le texte de cette lettre repris in extenso:

OBJET: Demande d’explications sur la violation de mes droits légitimes caractérisée par des propos mensongers et des violences psychologiques sur personne vulnérable s’étant déclarée victime de harcèlement moral hiérarchique au travail.

Mon Général,

C’est en votre qualité de chef hiérarchique que je m’adresse à vous ayant eu l’honneur de servir sous votre autorité au sein de la Section de Recherches de la Gendarmerie de l’Air.

Afin d’étayer mon propos, je me permets de rappeler en préambule l’article L 4121-4 du Code de la Défense qui stipule qu’en matière de responsabilité du chef; « (…) Il appartient au chef, à tous les échelons, de veiller aux intérêts de ses subordonnés et de rendre compte, par la voie hiérarchique, de tout problème de caractère général qui parviendrait à sa connaissance.»

J’ai été affecté au sein de la S.R. de la Gendarmerie de l’Air du 01/08/2009 au 16/08/2018, dont une partie sous votre commandement à compter de l’été 2016 jusqu’à mon placement en congé de longue durée pour maladie (CLDM) sur décision hiérarchique et du corps médical militaire le 16/08/2018.

Après une étude approfondie de mon dossier médical, j’ai pu constater que certaines observations et annotations écrites par des médecins, vous citent directement dans le suivi et la gestion de mon dossier médical.

C’est ainsi qu’il est porté officiellement à ma connaissance, vos diverses interventions et votre ingérence concernant mon état de santé qui ont conduit le corps médical militaire, manifestement influencé par votre positionnement «singulier», à exclure l’imputabilité de mes blessures psychologiques en lien avec le service qui découlent directement d’événements survenus à l’occasion du service dont vous étiez informé et qui m’ont conduit à être hospitalisé en urgence le 23 mars 2017 pour crise suicidaire au service de Psychiatrie à l’hôpital PERCY pour la période du 23/03/2017 au 07/04/2017.

Ceci m’amène à vous demander officiellement et par écrit des explications sur les éléments développés ci-après qui interrogent sur votre intérêt à agir dans cette affaire qui me fait grief et dont les conséquences mortifères sont particulièrement graves, ce que vous ne pouvez ignorer en votre qualité de chef.

Pour rappel, vous étiez venu me voir à l’hôpital, inquiet de ma situation et des risques potentiels de la mise en cause judiciaire du lieutenant-colonel COLLORIG placé sous votre commandement donc sous votre autorité.

A cette occasion, vous avez également fait part d’un désir de vous enquérir de mon état de santé.

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Plusieurs témoins étaient présents lors de votre venue et de notre entretien dans le couloir. Il me semble que vous ne contesterez pas ces premiers faits.

Alors que les médecins vous sollicitaient sur votre connaissance du conflit professionnel à l’origine de la première inscription au registre des constations, vous avez sciemment tenu des propos étranges en niant les évidences, rejetant le fait d’avoir eu connaissance de ce conflit professionnel datant de 2015.

Je vous demande en conséquence de bien vouloir me confirmer ou de m’infirmer les propos qui vous sont attribués dont la nature mensongère vous met directement en cause.

Je n’ose croire qu’un haut gradé de gendarmerie et de votre qualité ait pu agir ainsi dans le seul dessein d’occulter la vérité afin de protéger votre subordonné et votre commandement.

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En effet, un tel dévoiement de la vérité qui me prive de droits administratifs et statutaires très importants m’est préjudiciable et ne peut échapper à un grand chef tel que vous. Je vous demande donc de vous positionner d’une manière formelle et définitive sur ce point pour lever toute équivoque s’il devait y en avoir.

Pourtant, dès le 04 avril 2017, vous étiez informé officiellement oralement et par divers écrits de la situation de conflictuelle issue des conséquences directes du harcèlement moral au travail hiérarchique mettant en cause mon supérieur, le colonel Laurent COLLORIG et dont je me suis déclaré victime auprès de vous et auprès du Directeur Général de la Gendarmerie Nationale.

– Notamment lors de plusieurs entretiens menés avec vous.

– Notamment lors de votre venue au centre hospitalier de PERCY.

– Notamment lors de la rédaction de la première IRC établie par le médecin lui-même au regard de la gravité des faits, documents qui a été successivement amendé sur vos ordres, à deux reprises en faveur du colonel COLLORIG. Le but recherché était-il de vous protéger pour justifier votre inertie quant au respect des obligations de sécurité de l’employeur?

– Notamment lors du compte rendu en date du 25 juin 2017, adressé à madame le Doyen des Juges d’Instructions à PARIS et à vous même.

– Notamment lors du recours relatif à la notation notifiée le 05 août 2017.

Là encore, vous avez adopté un positionnement partial et fait preuve d’une impéritie flagrante démontrant votre méconnaissance de mon travail d’enquête tant dans sa charge volumineuse que dans sa haute qualité et technicité reconnues entre autre par les magistrats avec lesquels j’ai eu l’honneur de diriger ces enquêtes.

Je m’interroge sur votre volonté de faire modifier à maintes reprises « l’IRC » initiale établie par le médecin principal BREIL qui dénonçait à juste titre ce conflit professionnel allant même jusqu’à faire état «d’effraction psychique» expression médicale d’une extrême gravité!

Je vous demande de bien vouloir m’expliquer vos interventions successives pour remettre en cause l’autorité médicale de ce médecin et ainsi faire obstacle à mes droits légitimes?

Vous avez déclaré au médecin principal:

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Ainsi donc, vous avez remis en cause un diagnostic médical en vous appuyant sur un rapport d’enquête administrative qui ne m’a jamais été communiqué en violation de mes droits.

J’ai découvert ce document finalisé ainsi que son rapport support à l’occasion de sa production illégale en justice par le colonel COLLORIG.

Après avoir effectué ma propre contre enquête sur ces deux rapports d’enquête administratives de l’IGGN (BEA), j’ai démontré aux juridictions civiles du TGI de VERSAILLES que ces documents étaient des faux en écriture manifestes, totalement partiaux, parsemés de mensonges et de propos péremptoires.

Pour votre information, le colonel COLLORIG n’a jamais été en capacité de produire le moindre argument ou preuve pour contredire mes moyens de droit et démontrer le contraire. Il a été condamné une première fois définitivement le 6 février 2018 suite à un premier désistement et s’est désisté une nouvelle fois dans une seconde instance dont l’issue prochaine ne fait aucun doute.

Vous avez cru bon d’ajouter que des sanctions avaient été demandées à mon encontre pour convaincre le corps médical de votre bonne foi en dépit de la déontologie et des règlements militaires qui doivent s’appliquer à tous.

Je vous demande de bien vouloir me communiquer les raisons de fait et de droit qui justifient votre ingérence dans mon dossier médical pour faire obstacle à mes droits légitimes.

Sous votre autorité, vos services ont affirmé au Tribunal Administratif de VERSAILLES que toutes les obligations inhérentes au placement en CLDM avaient été réalisées. Là encore, il s’agit de propos mensongers qui vous avaient été signalés par écrit, lettre à laquelle, vous n’avez jamais daigné répondre, certainement par embarras.

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Concernant le message «EVENGRAVE» rédigé huit jours après les faits du 23/03/2017 sous votre autorité, celui-ci fait état de faits mensongers d’une extrême gravité .

La remontée du renseignements à l’attention des plus hautes autorités gendarmerie et ministérielles ayant besoin d’en connaître le cas échéant est fondé sur la fiabilité des informations transmises. Tromper ainsi de telles autorités est particulièrement grave et signe de mépris d’autant plus que l’état militaire exige entre autre «NEUTRALITE» et «LOYALISME». Là encore, je ne comprends pas un tel procédé.

Pourriez-vous m’éclairez et m’expliquer comment cela a-t-il pu se produire?

Je n’ose pas croire à l’incompétence récurrente de tous les acteurs qui sont intervenus dans mon dossier agissant sous votre commandement et sous votre autorité.

A titre personnel et en qualité de victime de harcèlement moral hiérarchique au travail et de violences psychologiques sur subordonné, je ne comprends pas que vous n’ayez pris aucune mesure de protection qui m’était de droit juridiquement et humainement.

Je vous demande de bien vouloir m’expliquer votre inertie en la matière que je ne comprends pas malgré tous mes efforts.

Vous vous êtes enferré dans le déni de ma situation par votre positionnement manifestement et particulièrement hostile et discriminatoire en raison de ma catégorie professionnelle en qualité de sous-officier opposé à un officier supérieur de gendarmerie.

Serait-ce par esprit de caste? Serait-ce par corporatiste? J’avoue ne pas comprendre.

Alors que vous aviez le pouvoir de mettre un terme au harcèlement hiérarchique du colonel COLLORIG, votre inertie a eu pour conséquence de lui dérouler le tapis rouge pour m’atteindre et pour me pousser dans plusieurs situations suicidaires. J’ai été assassiné professionnellement et dans ma vie tout simplement.

Est-ce cela la gendarmerie nationale, une force humaine?

En laissant le colonel COLLORIG rédiger un rapport de mutation d’office tenant à ma personne alors que j’étais hospitalisé, véritable sanction disciplinaire déguisée que vous ne pouvez ignorer et que vous avez transmis à l’IGGN alors même que vous me l’avez caché, vous avez encore une fois agi contre mes intérêts en sachant le caractère illégal de ce rapport.

Vous disposiez en ces circonstances, de la première lettre de Madame Sabine KHERIS doyen des Juges d’Instruction près le TGI de PARIS attestant du comportement inadmissible et des propos mensongers de cet officier supérieur (colonel COLLORIG). Cela ne vous a en rien empêché de me noter en m’accablant davantage et de manière plus humiliante encore que celle contestée rédigée par le colonel Collorig.

Vous avez pris également soin de me faire punir par la colonelle JEGADEN, alors que je n’étais plus sous ses ordres mais placé sous votre autorité directe. Cette sanction est manifestement illégale tant sur la forme que sur le fond. Prochainement, le tribunal administratif se prononcera sur cette sanction attaquée au contentieux.

Expliquez-moi pourquoi vous avez fui vos responsabilités en chargeant la colonelle JEGADEN d’établir cette sanction à votre place?

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Un mensonge de plus! En effet, la permission avait bel et bien été posée et l’avis de la colonelle JEGADEN a été mentionné huit jours après pour se couvrir.

Pourquoi une telle manœuvre, si ce n’est pour tenter de tromper une nouvelle fois!

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Voilà mon Général une liste non exhaustive de faits interrogeant vos interventions, vos décisions et votre ingérence dans le seul dessein de me nuire sauf à démontrer le contraire.

Je reste donc en attente de vos éléments de réponse ou à défaut de votre silence en votre qualité de chef pour m’expliquer les mesures concrètes que vous avez prises pour veiller à mes intérêts dans une situation de détresse et de vulnérabilité portée à votre connaissance.

Respectueusement.

ADC GUEDON Gérard

Pour lire, la lettre originale, cliquer sur le lien ci-dessous:

lettre cdt guichard Armée media

10 Réponses pour L’Adjudant-chef GUEDON demande des explications au Général GUICHARD commandant la Gendarmerie de l’Air.

  1. Quand j’observe les agissements de ce général, je ne peux que me rendre compte de la médiocrité de certains chefs. Oser mentir de la sorte et faire obstacle aux droits légitimes d’un subordonné. C’est tout simplement honteux. Il peut arborer un sourire ce général, c’est un bien beau spécimen du type même d’officier qui n’a rien à faire dans l’armée.

  2. Les années passent, je découvre ou redécouvre certains NOMS que j’ai connu il y 45 à 50 ans…un demi siècle déjà. De jeunes officiers plein de jus, rempli de convictions de droiture et de défense pour leurs hommes. par contre je suis attristé ce jour en parcourant les écrits de l’A/C GUEDON que je soutiens dans un labyrinte de procédures venant de certaines personnes chargées de montrer l’exemple en appliquant le seul droit qui leurs est dû…LA JUSTICE!
    « Voilà quelques mots, sans haine, juste ceux d’un de tes anciens camarades qui a un peu de légitimé pour parler de ce qu’est la souffrance en toute humilité. L’ego n’a pas de place dans ce domaine, car lorsqu’on souffre, celle des autres nous impacte d’autant plus.
    Cordialement, Paul MORRA,Rédacteur en chef.
    SUIVENT les paroles que l’on m’a transmis à mes 17ans et qui m’ont permis de survivre dans certaines actions…
    Le guerrier ne fait que porter l’épée pour le compte des autres. C’est un seigneur, puisqu’il accepte encore de mourir pour des fautes qui ne sont pas les siennes, en portant le poids du péché et de l’honneur des autres.

  3. Les années passent, je découvre ou redécouvre certains NOMS que j’ai connu il y 45 à 50 ans…un demi siècle déjà. De jeunes officiers plein de jus, rempli de convictions de droiture et de défense pour leurs hommes. par contre je suis attristé ce jour en parcourant les écrits de l’A/C GUESDON que je soutiens dans un labyrinte de procédures venant de certaines personnes chargées de montrer l’exemple en appliquant le seul droit qui leurs est dû…LA JUSTICE!
    « Voilà quelques mots, sans haine, juste ceux d’un de tes anciens camarades qui a un peu de légitimé pour parler de ce qu’est la souffrance en toute humilité. L’ego n’a pas de place dans ce domaine, car lorsqu’on souffre, celle des autres nous impacte d’autant plus.
    Cordialement, Paul MORRA,Rédacteur en chef.
    SUIVENT les paroles que l’on m’a transmis à mes 17ans et qui m’ont permis de survivre dans certaines actions…
    Le guerrier ne fait que porter l’épée pour le compte des autres. C’est un seigneur, puisqu’il accepte encore de mourir pour des fautes qui ne sont pas les siennes, en portant le poids du péché et de l’honneur des autres.

  4. Malheureusement, ces commandants de hauts rangs, sont animés par une sorte de pacte dans lequel ils doivent sur ordre s’auto-protéger, laisser couler, faire abstraction. Mais pire est que lorsque c’est perdu voire dangereux, la destruction du requérant est alors envisagée.

    Nous pouvons avoir affaire à de bons hommes, droits, aux grandes qualités humaines avérées, qui aimeraient pourvoir casser les codes qui ternissent l’image de ces institutions, briser cet omerta assourdissant. Mais un militaire, même général doit se taire, au mieux il sera toucher par la correspondance émise, mais rien n’en découlera jamais. Discuter, mettre tout à plat, ces institutions ne savent pas faire !

    Quand on a été dans ce cas de figure, soumis à l’autorité et à la loi du silence même dans des affaires graves, peut-on sortir sereinement un livre sur « qu’est qu’un chef ? » en se présentant comme le « chef militaire » par excellence ? Nous savons aujourd’hui que certaines affaire graves et avérées durant son temps de responsabilité n’ont pas été mieux traités qu’avant ou après.

    A partir de quand, les Armées ou les Forces Intérieures estiment s’être trompées ?
    Cela à l’instar de Charles de GAULLE, Alfred Dreyfus et tant d’autres que l’on ignore pour qui leurs vies a basculer et auraient bien pu s’arrêter…

  5. Christian SÉBENNE

    Au travers des déboires et des humiliations que rencontre l’Adjudant-chef Guedon on imagine ce que doivent endurer certains militaires, gendarmes ou policiers, qui, confrontés à de tels personnages, sont lessivés, au bout du rouleau, dépriment, perdent tout espoir dans cette société sans repère où les valeurs qui ont structuré notre pays sont sapées par ceux là même qui devraient en être les gardiens du Temple.

    On a coutume de dire qu’au delà d’un certain grade, les officiers sont quasiment tous « francs-maçons », ceci expliquerait-il cela ?

    Le 23 octobre 2016, les Policiers manifestaient massivement, et réclamaient non sans raisons, les francs-maçons en prison !

    https://www.medias-presse.info/les-policiers-scandent-francs-macons-en-prison/63073/

    Mais paraît-il qu’aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années, un certain courant aux métastases alternatives « en marche » nous a démontré qu’avec un Lieutenant-Colonel Alexandre Benalla… tout devient possible, même le pire.

    Où est la noblesse du commandement ?

    Sun Tzu précisait : « J’entends par commandement, l’équité, l’amour pour ceux en particulier qui nous sont soumis et pour tous les hommes en général ; la science des ressources, le courage et la valeur, la rigueur, telles sont les qualités qui doivent caractériser celui qui est revêtu de la dignité de général ; vertus nécessaires pour l’acquisition desquelles nous ne devons rien négliger : seules elles peuvent nous mettre en état de marcher dignement à la tête des autres. »

    Christian Sébenne

    • Cela m’étonnerai que les officiers news age, connaissent le moindre passage de l’art de la guerre, trop empêtrés, pour certains, dans l’art de converser dans un salon.
      Mais je ne pense pas que la majorité des officiers ait ce comportement. J’ai connu le cas ou un haut gradé gendarmerie a donné, dans la subtilité (de manière détournée, par sous entendu et orientation..), le modus opérandi à un simple gendarme pour contrer une décision venue de plus haut et dont visiblement il ne partageait pas « les valeurs ».
      Même dans les premiers de cordées, il y a ceux qui seront devant sur les champs de batailles et les autres, qui resteront derrière, dans les salons feutrés..

      • Christian DÉBENNE

        réponse @ hgo04

        Aujourd’hui que dire du champ de bataille lorsque les ennemis proviennent de l’intérieur, désormais nous sommes dans l’inversement totale des valeurs, les preuves sont légions, mais l’une d’elle est significative de ce dépotoir qui fait office de gouvernement, je cite : « En maintenant la stricte interdiction du Cannabis en France, le gouvernement protège le monopole exclusif des dealers de cités sur une drogue psychotrope qu’une majorité de Français consomme occasionnellement ou régulière en toute impunité.

        Jamais les banlieues ne se soulèveront contre un pouvoir politique en place si protecteur de leur business..

        Les narcotrafiquants ont juste à se contenter d’attaquer les policiers trop zélés qui nuiraient potentiellement à leurs affaires commerciales dans des quartiers qu’ils contrôlent totalement..

        Désormais, le chiffre d’affaire des dealers participe même officiellement au PIB de la Nation.. Que demande le peuple ? »

        https://france-police.org/2019/06/08/lextreme-gauche-esperait-mobiliser-la-racaille-des-banlieues-pour-cet-acte-30-des-gilets-jaunes-pari-rate-la-5e-republique-a-toujours-ete-la-meilleure-alliee-des-dealers/

        Le Général Bertrand Soubelet avait déjà annoncé la couleur… il fut muté…

        Pour ma part, je reste convaincu qu’il y aura un homme providentiel qui remettra les pendules à l’heure, en ce sens, il est du devoir de chacun d’entre nous de prendre ses responsabilités, d’être parfaitement conscient que l’exécutif veut amener la France à sa partition, et nous diffuser la guerre civile.

        A qui profitera le crime, pourquoi et dans quel but, se poser la question c’est déjà y répondre en grande partie.

        Christian Sébenne

        • Ha mais je partage bien le fondement de ce que vous pensez.

          Pour le cannabis, cela va même au dela, vu l’impunité qu’ont les fournisseurs, je parlerai de notre plus proche producteur qui est le maroc, et sa région nord atlas (le rif), ou des montagnes complètes sont recouverte de cannabis.
          Le royaume ne fait rien pour ne pas avoir une révolte ou pire, une révolution, colorée ou pas, dans le pays, et comme le notre, indirectement l’état y retrouve des retombées économiques.
          Pour les usages, sachant que dans le temps des années 68, avec l’ambiance de l’époque, le THC du cannabis était de l’ordre de combien?? 1% de concentration?? de nos jours il l’est à plus de 30%
          En consommations épisodiques je dirai: bon… ça vaut une grosse cuite du samedi soir..
          En consommations régulières, genre 5 à 10 joints / jour, ça fait maintenir les gens dans le calme, vautrés devant leurs tv à regarder TPMP.
          Comme vous dites, la paix sociale..
          Puis parfois des soubresauts comme avec les gilets jaunes.. et on a vu comment notre président s’est empressé de se mettre à l’abri loin de paris quand les renseignements qui lui parvenaient, étaient alarmistes .. mais comme dans son caractère il ne pouvait pas s’empêcher, il nous a fait coucou de sa station de ski..
          Ce type est « fou » dans le sens où il ne se rend pas compte des portées de ses agissements.
          Souvenons nous de la reine d’angleterre qui, parce que premier personnage de son pays, a refusé de quitter LONDRES bombardée tous les jours pendant la guerre…
          Le notre fait ce qu’il a à faire, du théâtre, du gaspi et un comportement de petit roy distribuant à sa cour, des victuailles de choix, homards et grands vins…

          Quant à l’homme providentiel… il existe peut être déjà.. mais le français, lui est déjà dans un autre monde.. Regardez IDIOCRACY, ce film est déjà en oeuvre dans notre pays..
          Des cons font des cons.. et ils votent en plus, pour ceux qui leur ressemblent le plus.

    • Vous avez raison pour Alexandre Benalla, mais le summum pour moi c’est que le plus haut gradé de la gendarmerie déclare  » Qu’un Alexandre Benalla soit lieutenant-colonel ne me pose aucun problème ». « Fermez le ban ».

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