Plainte en diffamation du DGGN: Quand l’Adefdromil aide aux victimes sert la soupe de la DGGN et la propagande de l’ESSOR.
Plainte en diffamation du DGGN: Quand l’Adefdromil aide aux victimes sert la soupe de la
DGGN et la propagande de l’ESSOR.
Décidément, l’Adefdromil aide aux victimes n’est plus ce qu’elle était. Le temps de l’ADEFDROMIL est bien révolu. Son président actuel, le colonel (ER) Jacques BESSY a fourvoyé l’esprit et son objet associatif initial créé par son président co-fondateur, le capitaine Michel BAVOIL et le Major RADAJEWSKI Joseph qui défendaient les droits des militaires avec force.
Paul MORRA a connu l’ADEFDROMIL dès 2002 et y a adhéré à cette date. Seul militaire d’active officiellement déclaré auprès du Ministre de la Défense, il a exercé les fonctions de membre de son conseil d’administration de 2004 à 2015, date de création de l’APNM ADEFDROMIL-GEND ayant évolué en AFAR (Association des Forces Armées Réunies) .
Après que Paul MORRA, président de l’AFAR ait dénoncé publiquement début d’année 2017 une affaire d’escroquerie au jugement mettant notamment en cause des services de la Gendarmerie Nationale, M. Jacques BESSY n’a fait que déferler une haine viscérale envers lui. Ces articles n’ont jamais été attaqués en diffamation durant le délai de prescription de trois mois.
Pour lire les quatre articles concernant cette affaire, cliquer sur le lien ci-dessous:
Articles escroquerie au jugement en bande organisée
M. Jacques BESSY ne reculant devant rien, a été jusqu’à gruger les membres de la Commission de la défense nationale et des Forces armées de l’Assemblée nationale, usurpant titre et qualité de l’APNM ADEFDROMIL-GEND, ancienne appellation de l’AFAR. Commission présidée par M. Jean-Jacques BRIDEY, ayant reçu pour être auditionnés dans le cadre du Budget 2018, des représentants d’Associations Professionnelles Nationales de Militaires (APNM).
Pour lire l’article concernant cette affaire intitulé «Un mythomane gruge les membres de la Commission de la défense nationale et des Forces armées à l’Assemblée nationale. – Dans le corps des officiers supérieurs de la gendarmerie, la liste des pervers narcissiques s’allonge» publié le 12 octobre 2017, cliquer sur le lien ci-dessous:
Article BESSY Assemblée nationale
Là encore, cet article n’a jamais été attaqué en diffamation durant le délai de prescription de trois mois.
Pour la première fois, Armée média et l’AFAR vous livrent un courriel en date du 9 octobre 2017 qui ne devait pas être publié écrit par Jean-Christophe COS Conseiller, chef de division Commission de la défense nationale et des forces armées en réponse au courriel du Président de l’AFAR. Vous aurez la preuve des manipulations de M. Jacques BESSY également attestées par d’autres courriels non publiés.
Extrait de ce courriel :
«Je regrette d’autant plus que cette erreur n’ait pas été relevée que, lors d’un second courriel également en copie, il est bien précisé qu’il s’agissait bien d’une audition d’APNM.
L’erreur a été signalée à la cellule audiovisuelle de manière à ce que le nom de votre association ne soit pas relié aux interventions de M. Bessy.»
Pour lire les courriels échangés entre le président de l’AFAR et M. COS, cliquer sur le lien ci-dessous :
Courriel réponse 9 octobre 2017 Commision de la défense Assemblée Nationale
Pour l’affaire objet de la plainte en diffamation du DGGN, il est utile d’informer nos lecteurs, qu’à l’époque de ces faits, M. Jacques BESSY disposait de la copie intégrale du dossier du Mdl/chef LE BLANC Vanessa, ancienne adhérente de l’AFAR. Il disposait également de tous les enregistrements sonores que détient l’AFAR et qui prouvent les accusations portées par son président, objet de la plainte en diffamation du DGGN.
Il faut s’interroger sur les associations qui diffusent cet article de l’ESSOR contenant des contre-vérités objet du droit de réponse du président de l’AFAR que personne ne reprend, car ils sont trop heureux de pouvoir lui taper dessus et faire allégeance à la DGGN.
C’est à cause de ce dossier géré par le lieutenant Paul MORRA et de la mise en cause des services de la Gendarmerie Nationale, que M. BESSY a mis tout en œuvre pour tenter de le discréditer et détruire sa position associative, ce qui fut un échec cinglant pour lui. Pour la défense et les droits des victimes, c’est tout sauf cela. C’est au contraire faire le jeu des harceleurs au détriment de l’intérêt des victimes. Voilà la réalité!
Pour s’en convaincre, li suffit de lire les articles intitulés «Lettre à Jacques, que je croyais être mon ami» publié le 12 mars 2017 et «Lettre à Jacques, que je croyais être mon ami: Épilogue.» publié le 28 mars 2017, consultables à partir des liens ci-dessous:
Article Jacques que je croyais être mon ami
Article Jacques que je croyais être mon ami Epilogue
Là encore, ces articles n’ont jamais été attaqués en diffamation durant le délai de prescription de trois mois.
Le monde associatif est aussi contaminé par des verrues qui profitent des victimes pour flatter leur ego et s’en servir pour des intérêts personnels.
Pourquoi ne pas avoir publié sur le site de l’ADEFDROMIL, la victoire de l’AFAR ayant obtenu la condamnation du colonel Laurent COLLORIG, le 6 février 2018 par le TGI de VERSAILLES? N’était-ce pas une information d’importance ?
Pour lire l’article, cliquer (ICI)
Ce n’est pas tous les jours qu’un officier supérieur mis en cause pour harcèlement moral au travail et pour violences sur subordonné est condamné suite à sa propre plainte en diffamation. Pas un mot, car reconnaître la victoire de l’AFAR pour M. Jacques BESSY était manifestement impossible.
Reprendre le droit de réponse de Paul MORRA, Président de l’AFAR n’est-ce pas de l’information?
Pour le lire, cliquer (ICI)
Information ou désinformation? D’un côté vous avez des affirmations sans fondement et de l’autre côté vous avez des preuves et des documents. A vous de comparer!
A-t-il publié le jugement de la plainte en diffamation déposé par le président de l’UNPRG, Henri MARTINEZ, à son encontre? Pourquoi? Il serait légitime qu’il soit transparent avec ses lecteurs! C’est lui-même qui en avait informé le président de l’AFAR en disant de rester discret.
Armée média et l’AFAR ne font aucune guerre, mais elles n’accepteront jamais les mensonges propagés par des personnes indignes de leurs engagements médiatiques ou associatifs.
L’aide aux victimes est une action sérieuse. Elle nécessite de traiter les dossiers et non pas de faire le jeu des harceleurs en soutirant de l’argent aux victimes désargentées et désespérées.
Nos actions nous exposent dans un système corrompu où l’on combat souvent seul contre tous. Parfois même, il y a des adhérents qui ont bénéficié de services, d’accompagnement et de victoires grâce de l’AFAR qui osent une fois quitté l’association se comporter en malfaisant allant même jusqu’à faire de faux témoignages en faveur de ceux qui les ont harcelés.
Plus rien n’étonne, dans un contexte où chacun pleure pour ses propres intérêts, sans s’investir pour l’intérêt collectif des militaires avec un cynisme sans pareil en se comportant comme des pingres qui après avoir bénéficié de centaines d’heures d’accompagnement dans tous les domaines sont incapables de verser 1 euros pour l’association. Certaines et certains se reconnaîtront.
L’AFAR et Armée média ne changeront jamais de cap, car c’est celui de la vérité qui est attestée par des documents et des preuves incontestables mises en ligne.
Médire, il en restera toujours quelque chose. C’est le principe des vautours, des hyènes, des charognards qui guettent les proies en situation de vulnérabilité pour les dévorer étant incapables de les attaquer de front par peur d’en assumer les conséquences.
Voilà, le comportement de ce type d’individu.