Nouvelle manipulation de la DGGN pour pousser au suicide le président de l’AFAR avec la complicité du Médecin-chef de l’antenne médicale de PERPIGNAN.
Nouvelle manipulation de la DGGN pour pousser au suicide le président de l’AFAR avec la
complicité du Médecin-chef de l’antenne médicale de PERPIGNAN.
Décidément au sein du Service Santé des Armées (SSA), un virus gagne certains médecins militaires pour obtenir une « jouissance organisme » par la souffrance de leur patient. C’est pour le moins paradoxal sachant qu’ils ont pour vocation de prendre en charge, de soigner et de guérir les malades d’autant plus quand ils sont blessés de guerre!
Même les vétérinaires qui aiment profondément les animaux qu’ils soignent, n’agiraient pas ainsi. Les militaires sont déjà considérés comme des sous-citoyens, sont-ils devenus des sous-animaux, la question se pose!
Pour comprendre ce type de comportement atypique, il suffit de se référer à ce qu’a théorisé Sigmund Freud sur le «stade anal» (de 2 à 3 ans en moyenne chez l’enfant), décrivant la deuxième phase de l’évolution affective d’un bébé humain. En effet, l’enfant peut également s’opposer à sa mère en retenant ses selles, c’est le développement d’un sentiment de toute-puissance chez l’enfant. Voilà une explication psychanalytique du comportement de toute puissance de certains militaires dont des médecins et de chefs hiérarchiques.
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Explications:
Quatre jours après l’audience correctionnelle du TGI de PERPIGNAN qui s’est tenue le 21 juin 2018, au même moment où l’ESSOR de la gendarmerie entame une campagne de propagande mensongère contre le lieutenant Paul MORRA, président de l’AFAR, il lui est adressé un courriel par le Chef d’escadron Vincent JOUIN, Bureau de l’Accompagnement du Personnel de la région de Gendarmerie d’Occitanie dont nous produisons l’extrait ci-dessous;
«Mon lieutenant,
je vous informe que La DGGN m’a fait part que, conformément à l’article L713-12 du code de la sécurité sociale, le certificat médical du médecin psychiatre que vous m’avez adressé (concernant votre inaptitude à vous déplacer afin d’être reçu dans le cadre du dossier de sanction vous concernant) n’est pas valable car il n’a pas été établi par un médecin militaire.
En effet, ce texte précise que « les services de santé militaires restent seuls compétents pour toutes les décisions pouvant avoir des conséquences statutaires ou disciplinaires ».
Le médecin militaire responsable de l’antenne médicale gendarmerie de Perpignan estime que votre état de santé est compatible avec une procédure disciplinaire.
En conséquence, je vous demande de bien vouloir m’adresser vos disponibilités afin d’être reçu par le colonel LAURENT au siège de la région à Montpellier….»
Il s’agit d’une pression supplémentaire et des nouveaux faits de harcèlement sur personne vulnérable pour tenter d’obtenir un entretien avec le lieutenant Paul MORRA pour la mise en œuvre d’une procédure disciplinaire illégale en relation avec ses activités de président d’une APNM, de directeur de publication d’un site de presse et de victime de harcèlement moral au travail dont la loi interdit toute sanction disciplinaire pour avoir témoigné des agissements dont il est victime (Article L 4123-10-2 du Code de la Défense). Ceci est aussi attesté par d’autres textes juridiques et jurisprudences.
L’article cité par la DGGN s’applique aux personnels en activité et non pas aux personnels en non activité. Dans le premier cas, il existe aussi des jurisprudences qui infirment ce texte de loi.
Nous vous invitons à lire le courriel cinglant du lieutenant Paul MORRA resté sans réponse à ce jour. Pour les courriers échangés cliquer sur le lien ci-dessous.
Revenons au certificat médical du Médecin-chef Sandrine BOSSO en date du 22 mai 2018 stipulant:
«Certifie que, au des derniers éléments apportés au dossier, l’état de santé du LTN MORRA Paul est compatible avec la prise de connaissance d’un dossier disciplinaire.»
Pour lire le certificat médical, cliquer sur le lien ci-dessous:
certifcat militaire MORRA Sandrine BOSSO
Vous serez à même de constater que cette phrase indique « la prise de connaissance d’un dossier disciplinaire » qui a déjà eu lieu le 25 janvier 2018 et non pas pour un entretien. Ce certificat ne remet donc nullement en cause celui produit par le lieutenant Paul MORRA, stipulant que son état de santé est incompatible avec une audience à caractère judiciaire, administratif ou disciplinaire et n’a de ce fait aucune valeur en la matière.
- Pourquoi cet empressement?
Deux raisons: le renouvellement du CLDM du lieutenant Paul MORRA le 11 juillet 2018 et sa prochaine nomination au grade de capitaine le 1er août 2018.
Pour lire notre article intitulé «Quand la DGGN brandit l’arme disciplinaire pour tenter de faire taire le président de l’AFAR. Une véritable chasse aux sorcières! ( Plus de 5000 vues au 28 juin 2018), cliquer (ICI)
La médecin-chef BOSSO aurait-elle oublié de prendre en considération les éléments contenus dans la lettre lui ayant été adressée le 15 mai 2018, soit une semaine avant l’établissement de ce certificat médical, la mettant personnellement en cause pour ne pas avoir pris les mesures relatives à l’état de santé du lieutenant Paul MORRA qui a du la menacer de dormir à l’antenne médicale de PERPIGNAN pour être hospitalisé en urgence le 16 novembre 2017 et pour ne pas avoir régularisé son dossier médical auprès de la CNMSS, ce qu’elle n’a toujours pas fait? D’ailleurs, elle n’a pas osé et ni même daigné répondre à cette lettre. Qui ne dit mot consent! La chronologie est têtue comme dirait Maître BIGOT, l’avocat du DGGN! S’agit-il d’un acte de vengeance d’un médecin-chef du SSA, c’est plus que probable! Comment produire un tel certificat médical, si ce n’est pour répondre à une commande de la hiérarchie? C’est non seulement grossier mais très grave au vu des conséquences sur une personne vulnérable dont elle connaît parfaitement son état de santé détaillé dans non dossier médical même si elle ne l’a vu qu’à deux reprises les 15 et 16 novembre 2017, soit plus de six mois sans l’avoir vu pour établir le certificat médical du 22 mai 2018. Ce n’est plus de la médecine, mais de la voyance, certainement une voie de reconversion professionnelle!
Concernant ce médecin, elle est susceptible d’être mise en cause pour non assistance à personne en danger au même titre que tous les autres acteurs de la gendarmerie de ce dossier comme exprimé dans la lettre lui ayant été adressée et qui avait vocation à rester confidentielle.
Le lieutenant Paul MORRA a néanmoins autorisé « Armée média » à la publier pour que la vérité éclate publiquement et que les procédés de harcèlement initiés par la DGGN avec la complicité de ce médecin du SSA soit dénoncés et connus de tous.
- Pour lire la lettre adressée au médecin-chef BOSSO, cliquer sur le lien ci-dessous:
saisine medecin chef Perpignan blessure en service
Rappelons les hospitalisations du lieutenant Paul MORRA, président de l’AFAR :
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Hospitalisation à l’Hôtel Dieu à PARIS du 23 octobre 2017 au 7 novembre 2017
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Hospitalisation au CAC 48 (CH Spécialisé Jean-Léon Grégory) à PERPIGNAN du 16 au 21 novembre 2017
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Hospitalisation à la clinique du Roussillon à PERPIGNAN du 21 novembre 2017 au 2 janvier 2018
Là encore, l’Inspecteur Général du Service Santé des Armées (IGSSA) rendu destinataire de cette lettre, est resté dans sa constance habituelle silencieux. Vu la gravité des faits dénoncés et les risques de suicide importants, c’est encore une fois la demonstration de l’inconsistance de ces services militaires manifestement incapables d’assumer leurs fonctions et leurs responsabilités.
Ci-dessous des extraits de la lettre adressée le 15 mai 2018 au médecin-chef BOSSO par le lieutenant Paul MORRA, ayant pour objet: Déclaration initiale d’affection imputable au service (DAPIAS) suite à mon hospitalisation en urgence le 16 novembre 2017, à ma demande, initiée par vous même et pour la régularisation de ma situation médico-statutaire auprès de la CNMSS, Service APIAS pour mon ESPT en qualité de blessé de guerre ainsi que pour la présente demande, n’ayant provoqué aucune réponse à ce jour ni même la régularisation de son dossier médical, ce qui est une faute très grave de ce médecin militaire du Service Santé des Armées. C’est manifestement courant dans ce service même si tous ne sont pas ainsi.
(…)
«Parmi les nombreux documents vous ayant été remis, vous avez notamment reçu communication de mes lettres adressées au Directeur Général de la Gendarmerie Nationale (DGGN) en date du 21 août 2017 et en date du 28 septembre 2017 que je vous renvoie en pièces jointes. Celles-ci reprennent chronologiquement les faits dont j’ai été victime depuis 1999 ainsi que le non versement de l’ISSP d’un montant de plus de 600€ depuis le mois d’août 2017, ce qui est totalement illégal au vu de mes états de service dont deux tentatives d’homicide en qualité de victime en plus de tous mes autres traumatismes. Ces éléments attestent sans équivoque possible de ma souffrance au travail depuis 19 ans, ce qui notamment est établi dans les certificats médicaux du docteur MELE, médecin psychiatre, chef de service adjoint à l’HIA Villenave d’ORNON que vous détenez dans mon dossier médical et que vous ne pouvez pas ignorer. Vous me l’avez d’ailleurs confirmé lors de nos entretiens.
A ces mêmes occasions, vous avez reconnu les faits de violences psychologiques dont j’étais victime.
Lorsque je vous ai demandé d’établir un certificat médical sur ces faits, vous avez refusé de le faire. J’en ai pris acte.»
(…)
C’est dans ces conditions, que dans un contexte de pressions terribles et d’épuisement professionnel, qu’il est entrepris au niveau de la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale et d’autres services par l’implication personnelle du DGGN, un processus de destruction psychologique de ma personne pour me pousser au suicide dans un état de santé fragilisé en raison de mon PTSD et d’un état dépressif d’intensité sévère attesté médicalement et parfaitement connu par ailleurs de cette haute autorité, ce qui rend son comportement destructeur encore plus abjecte!
C’est la raison pour laquelle, ne pouvant plus me nourrir étant asphyxié financièrement, après avoir informé différents services (assistante sociale, CABGN, docteur MELE, etc…) gardant soit le silence soit en me «souhaitant bon courage» alors que ma vie était en danger, que je suis revenu vous voir le 16 novembre 2017 dans un état d’épuisement psychologique et physique ayant pris des risques inconsidérés pour conduire mon véhicule, étant sous traitement médical, me sentant abandonné par tous et par mon institution
Cela s’appelle de la non assistance à personne en danger! C’est en plus, un état de prévarication manifeste pour tous ceux qui ont eu connaissance de ma situation et n’ont rien fait. Je dois vous avouer qu’en matière de lâcheté, je crois avoir en toute humilité avoir tout vu et à tous les niveaux.
J’ai donc été contraint, de vous menacer de dormir à l’antenne médicale si vous ne me faisiez pas hospitaliser en urgence.
(…)
Pour compléter notre article intitulé « Extrait des conclusions du rapport d’expertise du lieutenant MORRA, Président de l’AFAR. Le risque de suicide est avéré! », ( Pour lire l’article cliquer (ICI), ci-dessous un complément d’information sur les conclusions de cette expertise réalisée le 13 novembre 2017 par le docteur Raphaël NASSIF, psychiatre des hôpitaux, agréé de l’ARS et de comité de réforme militaire.
L’armée et la Gendarmerie Nationale sont particulièrement défaillantes dans ce dossier pour non assistance à personne en danger n’ayant entrepris aucune mesure d’accompagnement d’un blessé de guerre avec des risques suicidaires importants attestés par cet expert. Voilà la réalité de cette affaire!
Ses conclusions:
Mr Paul MORRA présente un état de stress posttraumatique à répétition, caractérisé et compliqué de troubles majeurs de l’humeur sous la forme d’une dépression récurrente d’intensité sévère, compliquées de conduites suicidaires d’origine professionnelle multiple en écho avec l’état de stress posttraumatique en question. Il a justifié un traitement psychotrope complexe, associé à une psychothérapie variée et spécifique des états traumatiques et posttraumatiques.
Nous constatons l’existence d’une transformation de la personnalité chez Mr Paul MORRA avec la mise en place de stratégie de lutte, empreinte d’une bonne constitution physique et psychologique antérieure alors qu’aujourd’hui elle semble frôler les abysses et le sentiment de vide assez prégnant comme nous pouvons le rencontrer dans les personnalités borderline avec la tendance aux mises en actes.
A travers notre examen, nous avons recherché la sinistrose pour infirmer, ou pour confirmer l’existence d’une paranoïa vindicative ce qui n’est pas le cas, d’autant que l’état psychologique constaté fait écho à des blessures par preuve sur des faits réels, tracées dans son dossier et non seulement dans son discours.
Aussi, et conformément au barème d’invalidité des pensions civiles et militaires, nous proposons à la Commission de Réforme Militaire le taux d’invalidité de (…) qui tiendra compte de la récurrence des troubles psychiques, de la complexité symptomatique, de la persistance du syndrome de répétition et des hypers-signaux symptomatiques de la constellation sémiologiques propre à ce syndrome, de l’altération de la personnalité sous la forme d’une personnalité multiple, impliquant des névroses posttraumatiques hystériformes, phobiques, obsessionnelles, dépressives et limites sous l’angle de la thématique persécutive associée à une dimension sensitive qui se complique, sans difficultés, de manifestations suicidaires et de mises en acte.
» Mr Paul MORRA doit poursuivre sa prise en charge psychiatrique et psychologique et doit faire partie des personnes qui doivent être accompagnées au long cours avec la prévention du suicide, étant donné que le risque suicidaire devient important en raison des facteurs aggravants, à savoir le sexe (homme), militaire, maniant les armes, ayant côtoyé la mort dans ses missions, sensitivité des émotions, antécédents de tentatives de suicide,(…)
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Commentaire:
Cette expertise a été obtenue le 15 juin 2018 après de multiples manœuvres dilatoires et plusieurs demandes de copie de cette expertise, la première demande datant du 23 janvier 2018 adressée à la sous direction des pensions puis au médecin psychiatre, colonel de réserve, traitant Paul MORRA à partir du 31 mars 2018. Ce fût un nouveau parcours du combattant pour obtenir ce document favorable au lieutenant Paul MORRA.
Le médecin-chef de PERPIGNAN ferait bien d’agir en médecin responsable et non pas en soldat de la DGGN. Une blouse blanche et un stéthoscope n’ont jamais fait un médecin digne de ce nom, mais la prise en charge médicale, les soins, l’accompagnement du malade OUI!
Il est urgent de changer de paradigme au sein du SSA, le temps du Dr Joseph Mengele est révolu comme celui de ma Gestapo!