Affaire GUEDON: Consultation médicale, il ne manquait que la lampe dans les yeux et c’était la Gestapo! Entretien exclusif accordé à Armée média par l’adjudant-chef GUEDON

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interrogatoire 2

Affaire GUEDON:

Consultation médicale, il ne manquait que la lampe dans les yeux et c’était la Gestapo!

Entretien exclusif accordé à Armée média par l’adjudant-chef GUEDON

  • Rappel des faits:

Par requête en référé suspension, l’adjudant-chef GUEDON demande au juge des référés de VERSAILLES de suspendre les effets de la décision n° 2566 en date du 13 avril 2018 aux termes de laquelle, il est placé d’office en congé de maladie du 10 avril au 6 juin 2018.

Dans le considérant N°2 de l’ordonnance N°1803024 du 22 mai 2018 de M. Le Gars Juge des référés, rejetant la requête de l’Adjudant-chef GUEDON, il est stipulé:

«Contrairement à ce que M. Guédon soutient pour justifier satisfaire la condition d’urgence exigée par l’article L. 521-1 du code de justice administrative, il n’aura nullement consommé l’intégralité de ses droits à congés de maladie au cours ou pendant l’arrêt en litige dès lors que, le 6 juin 2018, il ne comptabilisera que 147 jours de tels congés sur une année glissante, soit moins des six mois exigés sur une période de douze mois consécutifs conformément à l’article R.4138-3 du code de la défense. En outre, la décision litigieuse se borne à le placer d’office en congé de maladie ordinaire et, s’agissant d’une position d’activité, n’a par elle-même aucune incidence sur sa position statutaire et par suite sur sa rémunération, ses accessoires et son logement par nécessité absolue de service, non plus que sur sa liberté d’aller et venir. Enfin, le détournement de pouvoir allégué n’est pas établi. Il s’ensuit que la situation d’urgence alléguée pour ordonner la suspension de la décision dont s’agit n’est pas justifiée au sens de l’article L. 521-1 du code de justice administrative.»

C’est dans ces conditions, que l’adjudant-chef GUEDON a répondu à la convocation qui lui a été notifiée pour un rendez-vous le 28 mai 2018, soit 6 jours après cette audience, devant le Docteur CATRIN, Médecin adjoint au chef du service Psychiatrie – HIA BEGIN.

Ce médecin du Service Santé des Armées (SSA) mandaté pour cette consultation en service commandé, s’est comporté une fois de plus comme on pouvait s’y attendre d’un praticien militaire aux ordres de la hiérarchie à l’instar du docteur SABETTA.

Pour lire nos précédents articles «Psychiatrisation des problèmes sociaux au sein de la Gendarmerie de l’Air à Vélizy Villacoublay. Un cas de harcèlement et de violences psychologiques en direct.», cliquer (ICI) et «Gendarmerie de l’Air à Vélizy-Villacoublay: Harcèlement de l’adjudant-chef GUEDON. La collusion entre la colonelle JEGADEN et le docteur SABETTA du SSA», cliquer (ICI)

  • Rappelons pour mémoire, la mission de la Gestapo, police secrète allemande:

«La Gestapo a la tâche de rechercher toutes les intentions qui mettent l’État en danger, et de lutter contre elles, de rassembler et d’exploiter le résultat des enquêtes, d’informer le gouvernement, de tenir les autorités au courant des constatations importantes pour elles et de leur fournir des impulsions»

A l’écoute du récit obtenu auprès de l’adjudant-chef GUEDON sur le déroulement de ce rendez-vous que nous détaillons ci-après, il est légitime de s’interroger sur la notion de «consultation» médicale pratiquée par ce médecin ou s’il s’agissait d’un «interrogatoire» particulièrement intrusif, agressif pour aller à la pêche aux renseignements et à destination de qui? La hiérarchie, certainement…

Peut-être que ce médecin s’est pris pour l’obersturmfürher Schulz dit «Papa Schulz» incarné au cinéma par Francis Blanche dans «Babette s’en va-t-en guerre» à qui l’on doit cette célèbre expression:

«Nous avons les moyens de vous faire parler!»

papa schulz

Ci-après, notre entretien avec l’adjudant-chef GUEDON. Vous serez à même de juger les pratiques d’un médecin du Service Santé des Armées, de sa loyauté, de son impartialité et de sa déontologie.

Sincèrement, si vous avez besoin d’un médecin militaire choisissez bien car certains confondent la notion de soin et celle de torture psychologique surtout, quand le patient souffre d’un état de stress post-traumatique ayant été victime de harcèlement et de violences sur subordonné attestés tant par des médecins civils que militaires.

Entretien exclusif accordé à Armée média par l’adjudant-chef GUEDON

interrogatoire 3

QUESTION ARMEE MEDIA:

Pouvez-vous nous rappeler les modalités de votre convocation à ce rendez-vous?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

J’ai été convoqué par courrier en date du 15 mai 2018 du docteur FRANCHIN, en consultation au service psychiatrie de l’HIA BEGIN. Dans un second courrier, j’ai eu connaissance du nom du docteur CATRIN, médecin adjoint au chef de service, mandaté pour cette occasion. Ce même praticien a été amené à contacter par courrier les représentants du MININT pour faire état de ma demande de report de la consultation.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Pouvez-vous nous raconter le déroulement de cette consultation?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

La teneur des propos échangés lors de cette «pseudo consultation» ayant plus le caractère d’un interrogatoire sous l’inquisition, ne répondait en aucun cas à une consultation au sens médical du terme. Je précise d’emblée, que ce médecin n’a effectué aucune prise de constante ni même pratiqué un quelconque examen physique de mon état de santé alors qu’elle ne m’avait jamais vu auparavant. En une séance, elle aurait donc pu me juger. C’est consternant!

Ce rendez-vous s’inscrit dans la continuité du harcèlement et des violences psychologiques que je subis toujours. Le seul but de cette consultation était à l’évidence, de me placer en arrêt maladie en vue d’un placement en congé de longue durée maladie (CLDM), décision préméditée par ma hiérarchie sur fond de collusion avec certains médecins du SSA. C’est ce que j’ai déjà dénoncé dans plusieurs courriers. Le docteur CATRIN médecin du SSA a même osé vanter le professionnalisme du docteur SABETTA dont j’ai déjà expliqué le comportement déloyal et son manque de déontologie. Ces médecins n’ont vraiment ni la vertu, ni le charisme et ni même la déontologie de leur métier au service des patients.

Dans le contexte actuel de l’affaire Naomi Musenga, le docteur CATRIN n’a manifesté aucune empathie pour le patient que je suis. Elle a eu un comportement que j’estime criminel à mon égard. Alors que je me relève d’un état de stress post-traumatique en raison d’un harcèlement moral hiérarchique et de violences psychologiques sur subordonné attestés par deux médecins-chefs du Service Santé des Armées, elle a abusé de sa fonction et autorité médicale pour me porter un nouveau coup par de nouvelles violences psychologiques. Son comportement est indigne d’un médecin. Je tiens à rappeler à toutes fins utiles la jurisprudence de la Cour de cassation, Civ., 20 mai 1936, Mercier qu’elle ne peut ignorer et qu’elle a sciemment violée. Ceci engage sa responsabilité civile individuelle.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Pouvez-vous en venir sur le déroulement de cette consultation?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

Lors de notre entretien, elle a utilisé la majeure partie du temps de cette «consultation» soit 40 minutes sur une durée totale de 50 minutes pour me questionner sur mes contentieux juridiques. Elle m’a aussi reproché ma qualité de victime de harcèlement et de violences psychologiques qu’il fallait prouver selon ses propres termes. Elle a même remis en cause sur un ton professoral, les moyens de droit mis en œuvre au soutien de mes intérêts, chose qui ne l’a regardait absolument pas en tant que médecin.

Ensuite, poursuivant son inquisition, elle m’a interrogé avec insistance sur d’éventuels enregistrements de son confrère (Docteur SABETTA) ou de tiers sans leur assentiment. Elle s’est donc positionnée en «pseudo-juriste», se permettant même de remettre en cause le droit d’y procéder, laissant supposer une infraction orchestrée de ma part.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Que pouvez-vous répondre sur les enregistrements que vous auriez réalisés?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

Sur ce point, son incompétence et son ignorance en droit, la disqualifie totalement pour émettre un tel jugement de valeur. En effet, en droit, une victime de harcèlement moral au travail dispose de tout moyen pour prouver sa qualité de victime. Il appartient à la juridiction idoine de retenir ou non la validité de ces preuves et enregistrements sonores ou vidéos et le cas échéant aux parties prenantes de les contester.

Je rappelle que la Cour de cassation a statué sans équivoque possible sur ce point. Un arrêt de la chambre criminelle du 27 janvier 2010 retient qu’«aucune disposition légale ne permet aux juges répressifs d’écarter des moyens de preuve remis par un particulier aux services d’enquête, au seul motif qu’ils auraient été obtenus de façon illicite ou déloyale et qu’il leur appartient seulement, en application de l’article 427 du code de procédure pénale, d’en apprécier la valeur probante, après les avoir soumis à la discussion contradictoire». Notons que l’expression «au seul motif», préférée à celle d’«au motif», réserve une marge d’appréciation aux juges: tout sera question de proportionnalité.

Je rappelle aussi que la récente «affaire Bettencourt» apporte un éclairage supplémentaire pour votre information. Des enregistrements réalisés «clandestinement» au domicile de Liliane Bettencourt par son majordome ont été remis aux enquêteurs.

De plus, dans un arrêt de la chambre criminelle du 31 janvier 2012, la Cour de cassation admet la validité de ces enregistrements clandestins dès lors que ceux-ci constituent «des moyens de preuve qui peuvent être discutés contradictoirement, et que la transcription de ces enregistrements, qui a pour seul objet d’en matérialiser le contenu, ne peut davantage donner lieu à annulation». Ainsi, un enregistrement réalisé à l’insu de l’auteur des propos peut donc être produit en justice et est recevable dès lors que le juge pénal l’a soumis à la discussion contradictoire.

En conséquence, sa qualité de médecin ne lui conférait aucune autorité ni même de légitimité pour aborder un sujet juridique qui la dépassait manifestement et encore moins d’en apprécier la validité juridique.

J’aimerai bien que ce médecin m’explique ce que ces éléments avaient à faire dans cette consultation médicale, si ce n’est une fois de plus, pour tenter de me déstabiliser malgré mon état de vulnérabilité.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Selon-vous pourquoi ce médecin a-t-il agit ainsi?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

En sa qualité de médecin psychiatre, les techniques d’influence, de manipulation ou de communication comme la programmation neuro-linguistique (PNL) ou sous une autre forme sont dans le cas d’espèce, des procédés condamnables. Là encore, elle ne peut en aucun cas l’ignorer et s’exonérer de ses actes destructeurs qui ne répondent en aucun cas au respect de la déontologie médicale et au serment d’Hippocrate dont elle devrait s’imprégner de nouveau.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Que s’est-il passé ensuite?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

Elle a poursuivi son questionnement incisif, sans m’écouter, en me demandant contre qui j’avais porté plainte? Devant quelle(s) juridiction(s)? Quelles étaient la nature des procédures judiciaires à venir? Elle s’est empressée de tout noter sur votre feuille blanche comme si elle allait à la pêche aux renseignements. C’était d’un amateurisme consternant, désolant. Le cas échéant, je serai à même de l’orienter sur un spécialiste pour une éventuelle formation dans ce domaine.

Afin de nourrir et satisfaire son appétence de curiosité obsessionnelle, je lui ai alors répondu que j’envisageais d’ester en justice contre les auteurs des décisions médicales iniques et déloyales qui me font griefs et dont elle ne pouvait en ignorer les conséquences.

Elles sont en effet restrictives de liberté et portent ainsi atteinte à ma liberté d’aller et venir, droit fondamental garanti par la Constitution ainsi que par la cour européenne des droits de l’ homme.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Il est légitime de s’interroger sur ces questions et leur lien avec cette consultation médicale. Tout l’entretien s’est-il passé ainsi?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

Elle a même osé me demander le nom de mes avocats, le nom de l’organe de presse siège des publications concernant mon affaire et l’équipe rédactionnelle. Sur ce dernier point, je lui ai répondu «Armée-Média». Je l’ai même invitée à lire ces articles très bien documentés accompagnés de preuves irréfutables.

Je lui ai rappelée qu’en droit pénal, elle ne jouissait d’aucune prérogative, ni de compétence juridique, territoriale ou même de la qualité d’enquêteur, pour justifier un tel procédé inquisitoire. La recherche et le rassemblement des preuves stipulés à l’article 14 du Code de Procédure Pénale n’est octroyé par aucun autre article d’un quelconque code médical ou autre serment, etc…

A sa question sur le nom de l’équipe rédactionnelle, j’ai refusé de lui communiquer ces éléments. Je m’interroge. Était-elle bien là en tant que médecin?

Au paroxysme de sa digression, elle m’a reproché de manière subtile, un pseudo manquement de réserve. Là encore, quel était son rôle médical? Je lui ai donné les trois principes qu’elle ne connaissait visiblement pas et qu’elle sollicitait maladroitement pour tenter de me piéger tout en m’interrogeant sur cette définition sibylline.

D’autre part, je suis trésorier d’une association professionnelle nationale de militaires (APNM) dont elle doit ignorer le sens. Il s’agit là encore, d’un nouveau droit acquis pour les militaires suite à la condamnation de la France par deux fois le 2 octobre 2014 par la Cour Européenne des Droits de l’Homme. J’encourage vivement ce médecin à se mettre à jour de ses connaissances, car la culture militaire et les droits des militaires ont fortement progressé depuis 1914, époque à laquelle, elle est encore affiliée me semble-t-il!

Poursuivant la discussion sur le même ton inquisitoire, elle a formulé des assertions me demandant quelles preuves étaient en ma possession pour justifier de mon statut de victime de harcèlement ou de violences psychologiques et en quoi consistait les «faux».

Afin de matérialiser mes allégations, je lui ai produit à titre d’exemple la fausse convocation au 90 jours d’arrêts maladie qui ne comporte aucune trace d’une quelconque notification de ma part.

Ses propos étaient d’une nature ahurissante pour un médecin qui s’est pris pour un détective.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Ce médecin vous a-t-il interrogé sur des questions à caractère médical?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

Revenant soudainement à une connotation plus médicale, elle m’a demandé la posologie de mes médicaments. Je lui ai répondu la Sertraline 50 mg, (un par jour) et l’absence de toute prise d’autre médicament. Elle m’a parlé de la prise de neuroleptiques, (RISPERDAL – ABILIFY), médicaments que je n’ai jamais pris, n’en ressentant pas le besoin, le tout sous contrôle bien entendu du Professeur GRANGER et du docteur MENARD, tous deux médecins psychiatres.

Afin de préparer et de tenter de justifier une décision déjà entérinée, elle a relaté sommairement un bref historique de mes hospitalisations en insistant sur leur nombre, leur fréquence et les contrastes observés entre les périodes dites de «restauration» et les crises de stress majeures constatées. Tout cela ne constituait en rien une pathologie du moment qui aurait pu motiver un arrêt maladie, une nouvelle fois abusif et qui m’est imposé contre ma volonté.

Je lui ai répondu que si je n’étais pas agressé, il n’y avait aucun risque pour moi, bien au contraire. L’évolution clinique était jugée très positive par mes médecins traitants.

Je lui ai rappelé à cette occasion, une nouvelle fois ma volonté de reprendre mon travail au plus vite, conformément à l’esprit de l’instruction médicale relative aux aptitudes médicales dans les armées, mais en vain.

Elle a complété son exposé, en déclarant que j’avais beaucoup de contentieux judiciaires en cours et que j’étais visiblement «remonté», terme final pour justifier et motiver sa décision de poursuivre l’arrêt maladie sans aucun fondement médical légitime démontrant une pathologie du moment.

Elle a ajouté avec une particulière audace que le docteur SABETTA avait agi pour me protéger. C’est d’une particulière mauvaise foi et un manque total de neutralité. Sa partialité la disqualifie une nouvelle fois.

Alors que je faisais état du certificat d’un expert psychiatre près de la cour d’appel de PARIS, infirmant toute motivation de l’arrêt maladie et du professeur GRANGER, elle a osé alléguer qu’ils servaient «pour l’occasion». C’est inadmissible de la part d’un médecin de critiquer vertement ainsi d’éminents confrères, tous deux experts judiciaires reconnus alors qu’elle n’en a ni la stature ni même l’envergure.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Comment avez-vous réagi?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

Je lui ai répondu: Comment pouvez-vous mettre en doute l’intégrité de tels praticiens hospitaliers sans même les connaître?

J’ai poursuivi mon propos en affirmant qu’ils m’ont donné une écoute très attentive, une qualité de soins, un sens élevé du devoir et de clarté envers moi et leurs autres patients que le docteur CATRIN devrait cultiver.

Je lui ai répondu sur la fréquence des soins prodigués et de ma volonté de poursuivre ces derniers en milieu civil. Elle m’a répondu vous en avez le droit. Fort heureusement! Elle m’a parlé très brièvement de ma famille, de mes filles, de l’emploi de mon épouse en quelques instants.

A aucun moment, elle ne m’a parlé des points importants, comme le sommeil retrouvé, ma manière de m’exprimer, mes joies, mes attentes, mes projets, mon apaisement constaté, etc… Rien non plus sur une quelconque pathologie du moment qui aurait pu motiver sa décision.

Je lui ai rappelée qu’aucun acte médical ne peut être pratiqué sans le consentement du patient. Le consentement de la personne doit être libre c’est à dire de ne pas avoir été obtenu sous la contrainte, et renouvelé pour tout nouvel acte médical. Il doit être éclairé, c’est à dire que la personne doit avoir été préalablement informée des actes qu’elle va subir.

Voilà le récit de cette «consultation» qui en fait s’est révélé être un interrogatoire digne de Gestapo par un médecin du Service Santé des Armées aux ordres de la hiérarchie.

QUESTION ARMEE MEDIA:

Avez-vous informé le Service Santé des Armées?

RÉPONSE de l’Ajudant-chef GUEDON:

J’ai adressé plusieurs courriers à l’Inspecteur Général du Service Santé des Armées (IGSSA). Je n’ai obtenu aucune réponse à ce jour. Le silence est de mise pour toutes les hautes autorités qui ont vocation à arbitrer ce type de contentieux et à protéger les victimes. C’est purement scandaleux!

4 Réponses pour Affaire GUEDON: Consultation médicale, il ne manquait que la lampe dans les yeux et c’était la Gestapo! Entretien exclusif accordé à Armée média par l’adjudant-chef GUEDON

  1. Un scandale absolu. Honte à ce corps médical pourri. Le prochain médecin ce sera qui ? a Bordeaux ? Je suis passé par là. S il veut un expert ce sera un supérieur militaire de ce même médecin. Tout est trafiqué de A à E; Il faut donc une condamnation. Il faudra passer par la justice pénale et non civile pour les obliger à respecter vos droits; je l’ai fait. C ‘est un parcours du combattant mais ca paie après.Courage à vous mon adjudant chef

  2. Une pure honte ce médecin. Lamentable et violent. L’armée est en pleine déliquescence me semble t-il. Il ne reste plus de l’armée que de carriéristes. tout part en couilles. Plein de courage à cet adjudant chef. Messieurs..les silencieux, APNM et autres, un jour c’est vous qui serez peut-être à sa place.

  3. Force est de constater que la médecine militaire est toujours et prioritairement aux ordres des DRH. Tout sera donc initié pour réduire cet adjudant-chef, qui ose se défendre et demander justice.
    Viendra probablement le moment ou on (la DRH) réclamera à la Direction du renseignement et de la sécurité de la défense (DRSD, anciennement DPSD),
    un avis de sécurité de circonstance (dûment couvert par le secret-défense et qui ne pourra donc être discuté).
    Avis de sécurité « miraculeux », derrière lequel se retrancheront toutes les autorités saisies pour écarter définitivement l’importun, avec bien entendu, la bénédiction du ministre.
    hé oui, les mêmes autorités, qui aujourd’hui ne répondent pas aux demandes de l’ADC GUEDON !
    L’Omerta imposée par le Secret-Défense invoqué ne s’adresse cependant pas à tous; N’importe quel général (même en 2S), ou officier supérieur, pourra accéder à l’envie au contenu de cet avis classifié, pour satisfaire sa curiosité… Ainsi va le Droit dans notre belle Armée. Courage à l’ADC GUEDON !!!

  4. Infecte. Je comprends les gens qui poussés à bout se font justice eux-mêmes. Ils ne reculent devant rien. Courage à toi cher camarade. Un frère d’arme qui te suit comme beaucoup d’autres. En tout cas tes chefs ne sont pas à la hauteur. Zéro. Incapables de prendre une décision simple. C’est dire. Juste bon à arborer des médailles qu’on leur donne.. Sans mérite. Ils sont vides.

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