Affaire GUEDON: Quand la Gendarmerie de l’Air se prend pour le «bureau des légendes», un véritable fiasco! Une première preuve sonore en ligne.

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Affaire GUEDON:

Quand la Gendarmerie de l’Air se prend pour le «bureau des légendes», un véritable fiasco!

Une première preuve sonore en ligne.

Dans le domaine du renseignement et du traitement des sources, les services spécialisés ont recours à la création d’une identité fabriquée et d’un scénario pour agir sous couverture. Cela s’appelle « une légende ». Lorsque ce scénario est peu crédible et démasqué comme dans le cas de l’adjudant-chef GUEDON, cela s’appelle dans le jargon des spécialistes une «LDM» c’est à dire: «une légende de merde!»

Voilà le résultat des pratiques déloyales et des mensonges éhontés des acteurs de ce dossier au plus haut niveau de la DGGN, de l’IGGN, du Tribunal Administratif de VERSAILLES, des Ministères des Armées et de l’Intérieur, du commandement de la Gendarmerie de l’Air à Vélizy-Villacoublay, de certains personnels de la Section de Recherches de cette gendarmerie spécialisée et certains acteurs du Service Santé des Armées.

Tout y est: corruption, complicité, mensonges, faux et usage de faux écriture, fausses déclarations, tentative et escroquerie au jugement, abus d’autorité contre particulier, violation des droits fondamentaux garantis par la Constitution, production de faux en écriture en justice, etc…

C’est ce que l’on appelle dans le domaine judiciaire «une bande organisée».

  • Article 132-71 du Code Pénal.

Constitue une bande organisée au sens de la loi tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d’une ou de plusieurs infractions.

Il est évident qu’au vu de nos révélations attestées de preuves irréfutables que ces conditions soient pleinement réunies.

L’erreur fondamentale de l’ensemble de ces acteurs véreux est d’avoir omis de respecter une règle intangible dans ce domaine; c’est ce que les spécialistes du renseignement appellent le triptyque de sécurité.

Il s’agit de ne jamais mettre en péril la sécurité de la procédure, celle des agents traitants et des sources. Dans le cas de l’affaire GUEDON, tous tombent comme des dominos, car de simples recherches «open source» associées aux éléments récoltés par la victime conformément au droit, dévoilent tous leurs stratagèmes et les liens qui les unissent. Nous notons l’absence de réaction et de droit de réponse à nos articles. Chacun est libre de les contester. En droit: « qui ne dit mot, consent! » 

L’amateurisme est un mot bien trop faible pour qualifier leurs incompétences. Quand on a fait le choix de tricher, encore faut-il bien le faire! On se croirait revenu au temps des paillotes et des barbouzes…

La voyoucratie a envahi les rangs de la Gendarmerie Nationale. Au sens familier du terme, il serait même opportun de parler d’une véritable mafia, s’agissant «d’un groupe occulte de personnes qui se soutiennent dans leurs intérêts par toutes sortes de moyens, dans le cas d’espèce, crapuleux».

  • Voilà, une triste réalité!

Dans notre article intitulé «AFFAIRE GUÉDON Gérard: L’IGGN capable du pire, nous le savions. Nous attendons toujours le meilleur! Pour lire l’article, cliquer (ICI), nous avions mis en exergue les propos subjectifs et téméraires du Major RUDELLE expliquant:

«… avoir côtoyé l’Adc GUEDON depuis 2006. Déjà à cette époque, ce gradé était perçu comme capable «du pire comme du meilleur» fournissant des procédures de grande qualité mais étant toujours dans l’excès. Il estime que ce militaire doit impérativement être cadré par un supérieur ayant pleinement sa confiance et qui, de ce fait, est en mesure de le gérer tant au niveau comportemental que professionnel.»

Pour caractériser la trahison de ce major ayant rejoint le rang des harceleurs, nous vous proposons une première séquence audio entre l’adjudant-chef Gérard GUEDON et le Major Nicolas RUDELLE de la Section de Recherches au sein de la Gendarmerie de l’Air et conseiller concertation auprès du colonel GUICHARD commandant la Gendarmerie de l’Air.

A cette époque, l’adjudant-chef GUEDON était fragilisé psychologiquement. C’est dans ces conditions que ce major, conseiller concertation essaie de le manipuler et le mot n’est pas trop fort. Ses propos sont scandaleux et indignes d’un militaire de la gendarmerie! Là, vous aurez une parfaite illustration des agissements de certains acteurs de la concertation.

Vous serez à même de juger par vous-même, le parti pris de ce major qui s’exprime longuement sur le positionnement de l’adjudant-chef GUEDON à défendre ses droits légitimes. Quant aux agissements du colonel COLLORIG ayant abouti à des crises suicidaires de l’adjudant-chef GUEDON, cela est fortement minimisé, c’est l’inversion des rôles, technique de manipulation classique sur une personne vulnérable.

Ses explications juridiques sont honteuses et foireuses par rapport à l’information de la juge d’instruction. Nous constatons une nouvelle fois qu’en section de recherches, certains n’y ont manifestement pas leur place.

La «LOYAUTE» et «l’HONNEUR» sont souvent revendiqués par des personnes qui n’en ont ni la vertu, ni le charisme, car ces valeurs nécessitent humilité et non pas arrogance et mépris.

Pour écouter l’enregistrement, cliquer (ICI) :

Le téléchargement peut prendre quelques minutes.

 

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