AFFAIRE GUEDON: La liste des mensonges et des faux en écriture s’allonge au sein de la Gendarmerie de l’Air.
AFFAIRE GUEDON:
La liste des mensonges et des faux en écriture s’allonge au sein de la Gendarmerie de l’Air.
Le 23 mars 2017, l’adjudant-chef GUEDON était hospitalisé en urgence à PERCY.
Rappel des faits (accident du travail – blessure en service), tels que rapportés par le corps médical:
Informations relatives à l’accident:
Date de l’accident: le 23/03/2017
Lieu de l’accident: Section de recherches de la Gendarmerie de l’Air
Circonstances générales de l’accident: 699- autres circonstances (lien avec le service)
Situation lors de l’accident: 7 – hors missions opérationnelles
Circonstances détaillées de l’accident:
Dans un contexte de conflit professionnel avec un supérieur évoluant depuis 2015, le patient a reçu un message de ce supérieur concernant l’enquête qu’il mène. Ce message a été interprété par le patient comme questionnant ses compétences. Le patient s’estime alors atteint dans son «honneur» et son «intégrité». Effondrement émotionnel avec émergence d’idée suicidaires avec son arme de service.
Nature:
Crise suicidaire dans un contexte de conflit professionnel avec retentissement thymique.
Siège:
psychique
Ci-dessous, le message « EVENGRAVE » établi à posteriori, hors délai, le 31 mars 2017, aux fin de régularisation. (CIRCULAIRE N° 33000/GEND/DOE/SDAO/CROGEND du 21 décembre 2012 relative au signalement des événements graves à porter à la connaissance de la direction générale de la gendarmerie nationale – Procédure « EVENGRAVE »)
- Que dit la circulaire?
Afin de pouvoir, si nécessaire, renseigner les ministères de l’intérieur (MININT) et des armées (MINARM), la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) doit disposer le plus rapidement possible d’informations précises et complètes sur tout événement grave ou sensible impliquant un ou des personnels de la gendarmerie ou susceptible d’aboutir à une mise en cause de l’institution. Les éléments communiqués doivent permettre de répondre aux éventuelles questions de l’un des deux ministères et ne doivent être adressés qu’aux seules autorités ayant à en connaître.
La présente circulaire précise les modalités de cette procédure, qui comporte une à trois phases, selon la gravité ou la sensibilité des faits (cf. annexe I) :
– une alerte du CROGEND par téléphone aux fins de signaler sans délai les faits les plus graves et/ou les plus sensibles ;
– une information circonstanciée de la DGGN par message ;
– un suivi de certains faits portés à la connaissance des ministères de l’intérieur et/ou de la défense avec le déclenchement de la procédure « EVENGRAVE ».
1. PHASE D’ALERTE TÉLÉPHONIQUE
Cette phase consiste à signaler téléphoniquement les faits les plus graves et/ou les plus sensibles, sans délai, au centre de renseignement opérationnel de la gendarmerie (CROGEND), afin d’informer la DGGN d’un événement en cours ou venant de se produire.
2. PHASE D’INFORMATION ÉCRITE
Cette phase, qui s’inscrit également dans un objectif de rapidité, consiste à signaler les faits et l’identité des personnes impliquées par un message d’information dont la contexture est précisée en annexe II. Le message est adressé dans un délai inférieur à six heures (de jour comme de nuit) à compter de la connaissance des faits.
Il s’agit là encore, de la preuve flagrante d’un autre mensonge pour cacher la réalité des faits impliquant son supérieur hiérarchique, le colonel COLLORIG. Cette pratique est souvent mise en oeuvre au niveau des autorités militaires pour éviter une remontée d’informations fâcheuses et sujettes à explications. Cela évite aussi à la DGGN de rendre compte aux ministres concernés en se retranchant le cas échéant, sur d’éventuels « dysfonctionnements internes ». Cette formule fourre-tout permet à chaque administration de l’Etat de botter en touche sans jamais engager de responsabilité.
Ci-dessous, le message EVENGRAVE. Pour voir les images en grandeur réelle, cliquer dessus.
21 mai 2018 - 7 h 32 min
Que dire une nouvelle fois. C’est vraiment grossier et stupide. le souci c’est que mensonger et donc ca créé forcément des grandes conséquences pour ce sous officier. Jamais vu un tel con et un tel menteur comme officier. Quelle être malveillant. A virer. Courage à se sous officier.
20 mai 2018 - 22 h 24 min
Chers camarades
Je suis scandalisé par de telles méthodes. Je regarde depuis le début de cette affaire et je me rends compte que c’est finalement son supérieur harceleur qui fait l’évengrave six jours après Lol !!!!!!.
Si les menaces et les insultes avaient réellement existées, il n’ y aurait pas de paragraphe à cet effet : « néant »
Ca sent très mauvais cette histoire. Pas très beau c’est le moins que l’on puisse dire.