«Sous-dossier GUEDON»: Un mensonge de plus pour le colonel COLLORIG attesté par Madame Sabine KHERIS, doyen des juges d’instruction près le TGI PARIS

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COLLORIG

«Sous-dossier GUEDON»: Un mensonge de plus pour le colonel COLLORIG attesté par Madame

Sabine KHERIS, doyen des juges d’instruction près le TGI PARIS

Dans son rapport de demande de mutation d’office de l’adjudant-chef GUEDON en date du 3 mai 2017, le colonel Laurent COLLORIG justifie son éviction de la section de recherches de la gendarmerie de l’air à Vélizy-Villacoublay, se retranchant sur le fait que l’unité spécialisée en police judiciaire, dans le domaine de l’aéronautique militaire, traite « d’affaires sensibles et suivies au plus haut niveau de la hiérarchie militaire et de la gendarmerie, nécessitant ainsi, pondération, objectivité et équilibre émotionnel. »

Pour lire le rapport de mutation d’office, cliquer sur le lien ci-dessous: 

MOIS GUEDON

Il réaffirme énergiquement à la troisième page du même document, cette position de soumission aux hautes autorités militaires pour justifier ses directives en stipulant :

« les affaires judiciaires traitées par l’unité sont sensibles et suivies parfois au plus haut niveau de la hiérarchie de la Gendarmerie ou des armées. Il est indispensable que les orientations fixées par le Commandant de section de recherches, définies avec ses supérieurs, ne souffrent d’aucune contradiction au risque de discréditer l’unité voire la gendarmerie de l’air. A plusieurs reprises ces 4 dernières années l’adjudant chef GUEDON Gérard a mis en difficulté le commandement, son comportement récent semble démontrer qu’il n’hésite pas à recommencer. »

Dans un autre paragraphe, le colonel poursuit son récit: « Enfin, le magistrat mandant de l’affaire judiciaire pour laquelle il avait la direction de l’enquête, estime, après un entretien avec le Commandant de la section de recherches, qu’il ne peut plus continuer à investiguer dans ce dossier, compte tenu de son état psychologique. »

Sur ce dernier point, la réponse en date du 6 mars 2018, de Madame KHERIS Sabine, doyen des juges d’instruction à Paris, magistrat mandant, est sans appel pour le colonel COLLORIG pris en flagrant délit de mensonge.

En effet, ce magistrat s’adressant à l’adjudant-chef GUEDON,  lui répond:

(…)

Le colonel est venu m’annoncer que, compte tenu de votre état de santé et du fait que vous étiez temporairement arrêté car hospitalisé en psychiatrie, il vous relevait de la direction de l’enquête sur Vouvray et me faisait part de sa décision. Il m’a par ailleurs précisé que vous l’auriez menacé que je lui enlève son habilitation OPJ, ce qui m’a fort étonné de votre part. Là encore, je n’en ai pas le pouvoir.

Toute commission rogatoire est adressée au colonel commandant la Section de Recherches. C’est lui que je saisis. En conséquence, ce ne pouvait pas être à moi à estimer que vous ne pouviez plus continuer à investiguer dans le dossier et je n’ai fait que recevoir l’information qu’il vous dessaisissait.

(…)

Pour lire la lettre de Madame KHERIS, doyen des juges d’instruction à Paris, cliquer sur le lien ci-dessous: 

Lettre JI a GUEDON 6 mars 2018

Une preuve de plus des mensonges répétés du colonel COLLORIG qui a estimé devoir porté plainte en diffamation. On se demande toujours pourquoi, car à aucun moment, il n’est argué dans sa plainte les mots ou propos ayant une teneur diffamatoire. Le juge du fond appréciera…

C’est pas bien de mentir mon colonel! Votre propos aurait nécessité: pondération, objectivité et équilibre émotionnel, ce qui vous fait cruellement défaut. Tel est pris qui croyait prendre! 

Ceci est une juste évaluation de la situation, telle qu’elle aurait du être présentée dans les rapports de l’IGGN. A bon entendeur, salut! 

Mensonge

«Le mensonge est un hommage à la vérité comme l’hypocrisie est un hommage à la vertu.»

Gustave THIBON

Citation mensonge

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