PLAINTE POUR DIFFAMATION DU DGGN: RÉVÉLATIONS : JOUR «J+12» Pratiques illégales dénoncées par le lieutenant Paul MORRA, président de l’AFAR (Acte V)
PLAINTE POUR DIFFAMATION DU DGGN: RÉVÉLATIONS : JOUR «J+12»
Pratiques illégales dénoncées par le lieutenant Paul MORRA, président de l’AFAR (Acte V)
Armée média vous propose de revenir sur le dispositif de signalement « STOP DISCRI » mis en place au sein de la Gendarmerie Nationale.
Pour ce faire, nous vous proposons de revenir sur un article intitulé « L’AFAR VA TESTER POUR VOUS LA PLATEFORME « STOP DISCRI » AU SEIN DE LA GENDARMERIE NATIONALE! » publié pour la première fois le 29 avril 2017. Ce document a été produit en justice dans les conclusions en défense du lieutenant Paul MORRA.
- Extrait de l’article:
Chères lectrices, chers lecteurs,
Comme vous avez pu le constater, preuves à l’appui dans mes précédentes publications, j’ai été et suis toujours victime d’un harcèlement moral au travail institutionnalisé depuis de très longues années au sein de la Gendarmerie Nationale.
Après avoir tout tenté en matière juridique, pour faire reconnaître mes droits légitimes et mon statut de victime, étant confronté comme beaucoup de mes camarades militaires dans la même situation, à l’aveuglement et au déni des acteurs institutionnels, j’ai décidé d’éprouver le dispositif de prévention des risques psychosociaux (RPS) en effectuant un signalement auprès de la plateforme « STOP DISCRI » de la Gendarmerie Nationale, que je reproduis ci-dessous.
• Un petit rappel:
Pour la Gendarmerie Nationale, sous statut militaire et placée pour emploi sous l’autorité du Ministère de l’Intérieur, c’est le dispositif « STOP DISCRI » qui est mis en place. Fruit d’une longue réflexion initiée dans le cadre du plan d’action mis en place par le Directeur Général de la Gendarmerie Nationale, Denis FAVIER, « STOP DISCRI » est effectif depuis le 1er mars 2014.
Les gendarmes peuvent bénéficier à ce titre d’une protection fonctionnelle différente de celle des autres agents de la Défense.
Le périmètre de STOP DISCRI est strictement limité aux discriminations, harcèlements et violences commis dans un cadre hiérarchique.
A ce titre, STOP DISCRI est chargé de traiter des cas de harcèlement moral hiérarchique. En cliquant sur le lien ci-dessous:
Le harcèlement au sein des armées un sujet d’intérêt collectif pour les APNM
vous accéderez à mon article intitulé: » Le harcèlement au sein des armées : un sujet d’intérêt collectif pour les APNM » datant du 23 novembre 2015, qui a fait 5428 vues à ce jour et qui vous éclairera sur le sujet.
Mention figurant sur la page d’accueil de la plateforme « STOP DISCRI »:
STOP DISCRI.
La lutte contre les Harcèlements, Discriminations et Violences est une priorité au sein de la gendarmerie.
Il est important d’intervenir dès qu’une situation semble anormale et de ne pas attendre que celle-ci s’aggrave, jusqu’à atteindre un stade de complexité et de souffrances inacceptables.
Il relève de la responsabilité de tous de signaler de tels faits.
Si vous êtes témoin ou victime de Harcèlement, Discrimination ou de Violences, vous pouvez solliciter un entretien avec votre hiérarchie de proximité (avec ou sans l’accompagnement d’un membre des instances de représentation et de participation ou d’un représentant syndical) ou lui adresser un compte-rendu.
Les membres du réseau d’écoute local sont également à votre disposition.
Si une démarche auprès de votre hiérarchie ou des différents acteurs locaux vous pose une difficulté, vous pouvez vous adresser à la cellule de signalement rattachée à l’inspection générale de la gendarmerie nationale.
***
Imprégné de l’esprit de cet Homme d’exception qui respectait le droit au sein des armées, qu’était le Général d’armée Denis FAVIER, notre ancien DGGN, j’ai décidé le 27 avril 2017 à 1 heures 45, d’effectuer un signalement sur la plateforme « STOP DISCRI ». C’est dans ces conditions, que j’ai obtenu un accusé de réception de mon signalement. Je suis dans l’attente d’une réponse qui j’espère me parviendra rapidement eu égard à ma situation de santé fragilisée qui nécessite une prise en charge rapide pour ne pas dire immédiate.
« Bonjour,
Je suis le lieutenant de gendarmerie Paul MORRA (NIGEND 133505), commandant la BDRIJ -54-.
Je porte à votre connaissance que je suis victime d’un harcèlement moral institutionnalisé depuis 1999. Bien qu’ayant parfaitement connaissance qu’une partie de ces faits n’entre pas dans le champ de cette infraction pénale détaillée infra, étant antérieure à cette loi, il n’en demeure pas moins, que les faits subséquents à cette loi sont pénalement répréhensibles et qu’il s’agit dans le cas d’espèce d’un délit continu. Je suis en conséquence, parfaitement en droit de faire valoir mon statut de victime.
(…)
Pour lire la suite de l’article, cliquer sur le lien ci-dessous:
L AFAR VA TESTER POUR VOUS LA PLATEFORME STOP DISCRI
Voilà la réponse du Général d’armée Richard LIZUREY, Directeur Général de la Gendarmerie Nationale par Note-express N° 41892 – 8 JUIN 2017 GEND/CAB ayant pour objet: Accompagnement des personnels de la gendarmerie injustement mis en cause pour des faits de discriminations, harcèlements ou de violences.
Lisez cette note en cliquant sur le lien ci-dessous et tirez-en vos propres conclusions pendant que des victimes sont broyées injustement.