Plainte pour diffamation du DGGN: Révélations J-1
Plainte pour diffamation du DGGN: Révélations J-1
A partir du 15 avril 2018, Armée média publiera chaque jour, des extraits des conclusions en défense produites en justice par le lieutenant de gendarmerie Paul MORRA, président de l’AFAR (Association des Forces Armées Réunies) suite à la plainte en diffamation par citation directe devant le tribunal correctionnel de Perpignan, par le Général d’armée Richard LIZUREY, Directeur Général de la Gendarmerie Nationale (DGGN).
Sans préjudicie de la future décision de ce tribunal, armée média vous offre en exclusivité des documents et des preuves attestant des propos et accusations formulés par le président de l’AFAR dans ses interventions médiatiques remises en causes par le DGGN dans sa plainte.
Vous aurez ainsi la preuve, d’un contexte de fraudes et de mensonges caractérisé par des agissements illégaux des enquêteurs de l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale (IGGN), des enquêteurs de la Section de Recherches de TOULOUSES -31- pour tromper la justice et faire condamner un innocent victime d’une escroquerie au jugement.
Il sera démontré que ces agissements ont été couverts au plus au niveau de la Gendarmerie Nationale.
Il sera prouvé les pressions exercées sur des enquêteurs dans le cadre d’enquêtes sensibles dont des informations judiciaires en cours dans le domaine de l’aéronautique militaire notamment.
Nous produirons les courriers d’un éminent magistrat attestant des mensonges d’un officier supérieur de la Gendarmerie Nationale.
Nous publierons des témoignages de militaires victimes de harcèlement moral au travail qui ont frôlé le suicide.
Enfin, nous apporterons la preuve de rapports de l’IGGN constituant des faux et usages de faux en écriture.
Nos informations sont à la disposition de tous les médias qui oseront les publier. Divers médias nationaux, détiennent déjà une partie de ces éléments. Les journalistes ne sont pas en cause. Mais les rédactions semblent verrouillées en ce qui concerne les affaires de cette nature au sein des armées, ce que nous pouvons que déplorer s’agissant d’un sujet d’intérêt collectif majeur.
Ci-dessous, la lettre adressée le 19 mars 2010 par Dominique Pradalié, Secrétaire Générale, Syndicat National des Journalistes en soutien a une journaliste mise en cause pour diffamation. Le plaidoyer exprimé dans ce courrier est sans appel. Il peut être repris pour expliquer en détail l’ire du DGGN par son action en justice.
Lettre consultable à partir du lien ci-dessous:
Syndicat des journalistes soutien à Laure MOYSSET
*****
Ci-dessous, le texte reproduit de cette lettre:
Madame Laure Moysset
Journaliste « L’ Indépendant »
Paris, ce 19 mars 2010
Chère Consœur,
Vous allez comparaître très prochainement devant le Tribunal Correctionnel de Perpignan avec le directeur de publication de « L’Indépendant ». Vous êtes tous deux mis en cause par une personnalité locale pour des articles parus les 18, 19 et 20 juin 2009 dans ce journal.
Alain Ferrand vous accuse de l’avoir diffamé.
Cette personne a bénéficié, dans vos colonnes, d’un droit de réponse le 2 juillet suivant et, ce qui est extrêmement rare, d’une ordonnance de publication prise par un magistrat de Perpignan, ordonnance enjoignant à « L’Indépendant » de procéder à une publication « de l’intégralité de la réponse de M. Alain Ferrand ». Ce qui fut fait le 17 septembre 2009.
Tout journaliste tient, pour mission première d’informer les citoyens. Ce que vous avez fait dans vos articles.
Tout journaliste a une responsabilité morale et juridique. Ce qui est normal.
Aucun journaliste n’est au dessus des lois et il est naturel qu’il réponde de ses actes devant la justice.
En revanche, toute atteinte à la liberté de la presse doit être strictement dénoncée et condamnée.
Les attaques dirigées contre vos articles ressemblent terriblement à un volonté de vous intimider et de faire taire « L’Indépendant ». C’est donc l’indépendance et la crédibilité d’une profession et d’un titre qui sont en cause.
Le Syndicat National des Journalistes « a pour objet essentiel la défense des intérêts individuels moraux et matériels de ses membres, et d’une façon générale, la défense des intérêts communs à tous les journalistes » (art. 3 des statuts du SNJ).
Le Syndicat National des Journalistes, premier syndicat de la profession, est donc à vos côtés et, au delà de la solidarité qu’il vous apporte, il reste très attentif à cette affaire. Beaucoup de journalistes ont fait l’objet de procédures judiciaires de ce type et, à chaque fois, les magistrats ont parfaitement su distinguer l’intérêt supérieur des citoyens à être honnêtement informés dans un pays démocratique.
La Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales dispose en son article 10 que : » Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées /…/ ». La Cour européenne des droits de l’homme, dans son analyse du fait au droit – indépendamment des qualifications nationales – a tôt estimé qu’ « il […] incombe [aux média] de communiquer des informations et des idées sur les questions […] qui concernent [les] secteurs d’intérêt public » et à « leur fonction consistant à en communiquer s’ajoute le droit, pour le public, d’en recevoir » [1] , la presse jouant le rôle de « chien de garde de la démocratie » [2] . Sur le fondement de l’article 10
de la Convention européenne des droits de l’Homme, la presse s’est donc vue reconnaître par la Cour européenne un rôle de sentinelle, sinon de contre-pouvoir.
Si vous estimez devoir rendre ce courrier public, vous pouvez le faire.
Croyez bien, Chère Consœur à l’assurance de nos sentiments attentifs et confraternels.
Dominique Pradalié
Secrétaire Générale
Syndicat National des Journalistes
15 avril 2018 - 12 h 55 min
Merci Monsieur
Très sincèrement.
14 avril 2018 - 15 h 10 min
A ceux qui critiquent la position du Lieutenant Paul Morra et lui jettent l’opprobre, je voudrais simplement et calmement leur dire, au cas où ceci leur aurait échappé, que nous sommes peut-être à la veille d’une guerre mondiale et que pour faire un parallèle, ces faits sont la résultante d’actions menées en toute illégalité par ceux qui gouvernent la France à tous les niveaux.
Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut rien voir.
De fait, excluant la construction d’un présent et d’un avenir serein qui devrait être bâtie sur la Sagesse et l’intelligence, en l’état, ceux qui dirigent notre pays ne sont pas épris du souci de gérer notre nation en « bon père de famille », mais répondent à une ligne de conduite mensongère et un cahier des charges des « forces occultes », dont la finalité est le jusqu’au-boutisme, incluant la guerre, le pillage des avoirs des citoyens, les vols des biens de l’Etat, les meurtres, les viols et notre extermination pour dérober entre autres le gaz, le pétrole, le cuivre, l’aluminium et l’uranium.
https://henrymakow.wordpress.com/2017/02/27/le-pedogate-revele-letat-profond-pilote-par-la-cia-et-le-mossad/
Sans caricature aucune, l’exemple vient de haut, ceci entrainant cela, c’est dans ce climat pestilentiel qui gangrène jusqu’aux tréfonds de nos institutions atteintes du « syndrome du Larbin » et remet tout en cause de l’ordre établi depuis la genèse, que se situent les reproches qui sont faits à l’encontre du Lieutenant Paul Morra, et quand je dis pestilentiel, je pèse mes mots et suis encore loin de la réalité.
Armée Media est un organe médiatique qui informe et s’inscrit à tort ou à raison dans un souci de clarté voulue par l’Union Européenne, que je sache l’information bonne ou mauvaise n’est pas faite exclusivement que de la rubrique des chiens crevés, mais de ce qui concerne en l’occurrence la vie, le quotidien et les orientations militaires et civiles des différents Corps Armés de notre société pour qui j’ai le plus grand respect.
http://echelledejacob.blogspot.fr/2018/03/transport-aerien-soupcons-de-trafic.html
Dans ce contexte.
Il y a lieu de tenir compte du fait que le monde traverse une crise et une situation exceptionnellement grave et sans précédent, la France va mal, très mal, c’est dans ce climat que certains disent : « la Gendarmerie est bonne fille etc… », mais quel rapport, et en vertu de quoi, quand le train déraille le Lieutenant Paul Morra devrait-il rester taisant sur des situations et problèmes donnés, à plus forte raison lorsqu’un train peut en cacher un autre, le dilemme : informer ou désinformer ?
Car tout est lié.
En ces temps très incertains où tout fiche le camp, où ceux qui ont pris le pouvoir n’ont qu’un maître mot : les privatisations, ne vous faites aucune illusion, ceci concerne aussi bien l’Armée, la Gendarmerie que la Police ainsi la voie est ouverte pour la finalisation en marche de la déstructuration de la France amenant les prévaricateurs de tout bord comme on vient de le voir à la Mairie de Paris, avec les milliers de faux procès intentés à des particuliers pour des verbalisations fictives par des sociétés de surveillance privées, pour un travail qui relève de plein Droit aux Corps assermentés… alors, mettre au ban de la société le Lieutenant Paul Morra, c’est tirer sur l’ambulance.
https://insolentiae.com/privatisation-des-pv-la-mairie-reconnait-des-milliers-de-faux-controles-gros-probleme/
Pour me faire plus clair dans cette situation à multi-tiroirs, la France est un pays de Liberté, et quoique l’on en dise, cette Liberté qui fut conquise de haute lutte par nos anciens est mise à mal par une noria de personnages, ceux-ci veulent étouffer tout esprit de réflexions et d’analyses, à tel enseigne que l’on voudrait nous faire croire que nous sommes informés du fait de la multiplicité médiatique qui donne l’apparence d’une information, mais qui en réalité se cantonnent à réciter la même prose merdiatique prédigérée qu’il serait de bon ton d’ingurgiter jusqu’à la gerbe, ainsi, sur le terreau de l’ignorance la dictature peut s’installer sans bruit.
Il est pour le moins scabreux d’assister à la débauche gouvernementale qui, en la matière veut museler tout le secteur de la Presse par un comité d’éthique contre les « fakes news », comme si la langue Française n’était pas assez riche autrement dit les bobards, comité d’éthique créé sous l’égide du feu « tenancier » du journal “Le Monde“ en la personne du pedocriminel Pierre Bergé, voilà sans délation aucune à quoi se résume l’éminence grise qui dictait au gouvernement les orientations à prendre, il suffit de chercher sur le sujet, les preuves sont légions.
Pour ne pas être trop long, je ferais référence à la récente lettre ouverte au président de la République du Général Antoine Martinez, celle-ci fait suite à de nombreuses alertes contre le Totalitarisme lancées par des personnalités tel : le Général Didier Tauzin, le Général Christian Piquemal ou le Général Bertrand Soubelet conscients que notre pays s’est engagé dans une voie sans issue depuis la violation du Traité de Lisbonne.
http://echelledejacob.blogspot.fr/2018/03/lettre-ouverte-au-president-de-la.html
Le malaise bien réel au sein de la communauté des différents Corps, dont celui de la Gendarmerie où les cas de harcèlement moral et de suicides sont hélas trop fréquents, montrent qu’obéir, certes, mais on n’est plus en 1914, la notion de conscience est un fait accompli. En reprenant le magazine Armée Media, le Lieutenant Paul Morra l’a fait en obéissant à sa conscience et si certains lui reprochent d’avoir fait état de son cas à des fins personnelles, je rétorquerais que son vécu est suffisamment emblématique du parcours que traversent de nombreux militaires pour que son exemple serve la communauté et que celle-ci s’enrichisse de ses enseignements, ce, afin d’en rectifier les dérapages.
Dans cette inversion des valeurs où l’on manifeste plus de déférence envers les migrants-terroristes qu’à ceux qui servent honnêtement la France, il y a lieu de ne pas confondre comme le disait George Orwell que le langage politique est conçu pour donner aux mensonges des airs de vérité, rendre le meurtre respectable et faire passer pour solide ce qui n’est que du vent.
Pour conclure, en terme de Droit, saviez-vous que les gouvernements ne font jamais que ce qu’on les laisse faire ? Et dites-vous bien qu’ils vont même jusqu’à tuer en votre nom. En droit criminel, ça fait de vous un complice.
La plupart du temps, vous ne serez jamais inquiété, mais l’histoire regorge de cas où, un jour, de simples citoyens, convaincus de n’avoir rien à se reprocher, se sont vus demander des comptes pour des gestes posés en leur nom par leur gouvernement.
En conscience, le Lieutenant Paul Morra n’a fait que son Devoir, lui opposer ce faux prétexte de diffamation n’est qu’abcès de fixations pour lui faire fermer Armée Media.
Christian Sébenne
Ancien propriétaire du magazine Africa International