COMMUNIQUE: Le DGGN porte plainte en diffamation contre le lieutenant Paul MORRA, Président de l’AFAR
COMMUNIQUE
OBJET: – Chasse ouverte contre le lieutenant Paul MORRA pour ses activités à caractère syndicale au sein de la Gendarmerie Nationale, le Général d’armée Richard LIZUREY, Directeur Général de la Gendarmerie Nationale (DGGN) en fait une affaire personnelle!
Par citation directe devant le tribunal correctionnel de Perpignan, le Général d’armée Richard LIZUREY, DGGN, a porté plainte contre Monsieur Paul MORRA, officier de gendarmerie et président de l’AFAR, (l’une des Associations professionnelles nationales de militaire) pour diffamation.
Cette affaire, inscrite au rôle de l’audience du 4 avril 2018 a été reportée au 21 juin 2018 à 14 heures 00 en raison de la grève des avocats.
Il est reproché au lieutenant Paul Morra des déclarations diffamatoires dans le cadre de ses activités à caractère syndical au profit de la défense des victimes de harcèlement moral au travail au sein de la Gendarmerie Nationale en particulier.
En effet, le Président de l’AFAR dans ses publications et interventions médiatiques a dénoncé à plusieurs reprises, des pratiques illégales au sein de la Gendarmerie Nationale impliquant notamment les services de l’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale (IGGN) dans le traitement partial des enquêtes internes administratives et judiciaires. Il a également dénoncé une escroquerie au jugement en bande organisée couverte par le Directeur Général de la Gendarmerie Nationale, dénonciation qui a, semble-t-il, déplu au général d’armée de gendarmerie Lizurey, auteur de la plainte en diffamation!
Le président de l’AFAR a décidé de réactiver à compter du 15 avril 2018 le site «Armée média, le journal de l’AFAR» mis en sommeil depuis janvier 2018 afin de publier ses conclusions en défense ainsi que la totalité des éléments et des pièces produites en justice qui attesteront de sa bonne foi et de la véracité de ses dénonciations.
Site Armée média, le journal de l’AFAR: http://www.armee-media.com/
Signé Lieutenant de gendarmerie Paul MORRA, Président de l’AFAR
Si l’on réfère à la citation de Gustave FLAUBERT «On peut calculer la valeur d’un homme d’après le nombre de ses ennemis et l’importance d’une œuvre d’après le mal que l’on en dit. Les critiques sont comme les puces, qui vont toujours sauter sur le linge blanc et adore la dentelle», cette action en justice est donc une preuve de la valeur des actions du lieutenant MORRA Paul, Président de l’AFAR.
11 avril 2018 - 12 h 39 min
Monsieur Jacky Mestries a parfaitement raison. Il est le seul à dire les choses telle qu’elles sont. Il remet en place la vérité sans haine ni passion mais en faisant un simple constat.
Autrefois Armée-Média faisait des centaines de milliers de connexions par mois et portait la voix de tous les militaires. Aujourd’hui ce site n’est même plus l’ombre de lui même. Monsieur Morra en à fait un « outil personnel » pour y déverser ses aigreurs et son mal être.
Qu’a fait monsieur Morra avec sa prétendue association ?
Quelles sont les personnes qu’il a réellement aidé ?
Quel véritable dossier l’AFAR a-t-elle constitué ?
Je pense au contraire que par son comportement irréfléchi monsieur Morra a entrainé dans son sillage quelques personnes qui aujourd’hui se rendent compte de son inconséquence.
La preuve en est aujourd’hui de la plainte dont il fait l’objet.
Regardez donc le dossier de 58 pages constitué par monsieur Morra et mis à notre disposition par monsieur Frédéric Bonnet et vous constaterez que monsieur Morra a toujours eu des problèmes avec sa hiérarchie depuis qu’il était au grade de gendarme.
( http://www.armee-media.com/wpcontent/uploads/2017/03/Harcelement-.pdf )
Monsieur Morra oublie très vite que malgré SES problèmes, sa hiérarchie, dont il se plaint tellement, lui a permis de s’élever à tous les grades de sous-officier et lui a même accordé l’épaulette d’officier. Alors de quoi se plaint-il ?
En déversant ici sa logorrhée, monsieur Morra a détruit le site Armée Média. Oui comme le dit si justement Monsieur Mestries « Mais qu’as-tu fait de cet outil, de ce site ? Pour moi ça en dit long sur celui qui pense ne s’en servir qu’à des fins personnelles. »
Monsieur Morra vous semblez avoir une très haute estime de votre personne, cela s’appelle de l’égocentrisme. Et comme le prétend un de vos lecteurs (oui vous en avez encore un peu) qui sous le pseudo « Un fidèle lecteur d’armée média » s’adresse à Monsieur Mestries, j’affirme que c’est sans amertume et sans « agressivité déferlées » que je m’exprime ici.
Je n’aurai qu’un seul conseil à vous donner, mais cela a déjà été fait par Monsieur Mestries « Si j’ai un conseil à te donner, c’est de transiger, la gendarmerie est bonne fille, elle a toujours pardonné même si elle veut sauvegarder la face, mais ne la pousse pas à bout, tu vas te faire écraser ».
11 avril 2018 - 21 h 38 min
Bonsoir MM. Leroy et Mestries,
En vous lisant, j’’ai bien compris que vous n’étiez pas faits de la même étoffe que M. Morra. La potentielle étendue de votre savoir et de vos compétences ne m’a pas échappé non plus. Comment pourrais-je en bénéficier plus amplement afin de mettre un terme au calvaire professionnel que je vis depuis cinq ?
Tous mes remerciements pour vos conseils salvateurs à venir.
(Je sais que vous n’êtes pas de ces grands diseurs, qui sont en définitive de petits faiseurs.)
13 avril 2018 - 18 h 15 min
Monsieur LEROY,
pour mon cas, j’ai 14 ans de service, notations et passé irréprochables, j’ai toujours été apprécié de mes chefs ayant des cursus, des origines et des armes diverses.
C’est justement ce qui m’a amené dans la tourmente car mon avancement, mes qualifications, mon OPEX en Afghanistan a rendu jaloux un officier mégalomane pervers narcissique.
Une simple jalousie qui a débouché sur une mésentente où j’ai perdu à plate couture. Le passé est alors oublié et votre carrière est brisée, simplement et en toute impunité car le système protège les décideurs.
Je ne connais pas la gendarmerie, mais je suis heureux d’avoir trouver le lieutenant de gendarmerie MORRA pour me soutenir, avoir une écoute et des conseils. Ce site s’oriente pour un nombre restreint de personnes mais croyez moi que quand de tels problèmes vous arrive, vous êtes seul et il peut devenir primordial.
Jamais je pensais à avoir à faire un simple recours de notation, j’ignorais tout dans le droit du militaire, cette histoire arrivée il y a un an a fait littéralement basculer ma vie. Du jour au lendemain, j’ai tout perdu à cause d’un officier qui voulait conquérir le monde peu importe le coût humain.
Vraiment, j’insiste sur le fait qu’aujourd’hui travailler avec le respect de ses chefs, en étant considéré et reconnu est devenu un luxe, à terme il va se tarir et devenir minoritaire.
La gendarmerie est une bonne fille sans doute, l’armée de terre c’est sûr, elles sont juste massacrés par quelques mauvais chefs qui les trahissent.
Enfin ce site à vocation inter-Armées pourrait aussi devenir inter-Administration, tant les autres ministères vacillent tout autant que la Défense.
Adjudant (terre) Frédéric BONNET
14 avril 2018 - 9 h 15 min
Tout est dit !
Je suis retrouvé dans la même situation.
Bon courage à vous
15 avril 2018 - 13 h 09 min
Quelque peu déçu par votre silence.
9 avril 2018 - 11 h 47 min
Cela fait quelques semaines seulement que j’ai connu par hasard ce grandiose lieutenant, et ce n’est que plus tard que je ferai lien entre lui-même, ce site et l’AFAR.
Au départ, une simple recherche sur internet pour trouver de quoi me « défendre » contre ce que je vis actuellement suite à un harcèlement moral stratégique d’un chef voulant au départ conquérir le monde (un peu comme un personnage des années 40). Une escalade incontrôlée qui m’a amené dans une tourmente indescriptible, un combat perdu d’avance entre un sous-officier contre un officier supérieur mégalomane, manipulateur et pervers narcissique.
Je découvre alors stupéfait, la première querelle du gendarme MORRA à Nouméa datant du siècle dernier
voir -> http://www.armee-media.com/wp-content/uploads/2017/03/Harcelement-.pdf
Des similitudes troublantes avec mon histoire survenue à Tahiti en 2017, presque 20 ans plus tard. La manière dont j’ai été mis à l’écart, broyé et enterré profondément pourrait laisser penser qu’un code de la défense sous terrain existerait avec des méthodes parfaitement illégales mais radicales…
Tout ça pour dire que si rien ne change, la Défense ne parviendra pas à tenir ses effectifs dans ces conditions ni à continuer de porter un attrait au statut militaire. Je parle de celles du chef qui a toujours raison, du commandement par le galon, d’un métier trop à vocation «carrière » où course à l’avancement et concurrence féroce font rages entre aspirant désirant décrocher la lune voire les étoiles.
Un ennemi des Armées d’aujourd’hui pourrait bien se transformer, à terme, en héros ayant apporté un nouveau souffle, un renouveau voire évité la débandade.
Si le général de Gaulle n’avait pas désobéit à « son chef », peut-être que nous serions Allemand aujourd’hui…
9 avril 2018 - 12 h 54 min
Comparer Monsieur Paul Morra au Général de Gaulle !!!
Ben voyons !
9 avril 2018 - 23 h 07 min
Mme Claude,
un article wikipedia vous concernant recèle une erreur majeure : votre décès en 2015. Plutôt que de commenter imbécilement des propos dont vous ne percevez manifestement ni la lettre, ni l’esprit, vous seriez bien inspirée de plutôt faire rectifier cette erreur d’information.
10 avril 2018 - 11 h 10 min
Et vous pensez relever le niveau des conversations ?
Avec votre commentaire imbécile .
9 avril 2018 - 10 h 41 min
Je rappellerais au Général d’armée Richard Lizurey, Directeur Général de la Gendarmerie Nationale, que si un certain Napoléon Bonaparte tranchait la question en légiférant que « l’histoire est un mensonge que personne ne conteste », heureusement que la conscience de Maurice de Talleyrand-Périgord lui faisait remarquer que : « Il y a une chose plus terrible que la calomnie, c’est la vérité ».
En ce cas d’espèce, chacun à sa conscience, et en cette période de tous les dangers je me tiendrais à dire à ce Général que ce n’est pas parce que l’on a l’autorité que l’on détient forcément la vérité, et qu’en cette période où des forces occultes prêchent et œuvrent ouvertement pour l’inversement des valeurs et démolissent sciemment la France, oui, heureusement qu’il y a encore des hommes comme le Lieutenant Paul Morra pour défendre la veuve et l’orphelin, Le Christ n’a t’il pas dit, ce que vous ferez au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous le ferez (Matthieu. 25, 40).
Défendre des cas difficiles et faire connaître les faits et la vérité n’est pas chose facile en cette France régit par le Carreau du Temple, la liberté de la Presse étant bafouée en linéaire du fait que les médias se trouvent entre les mains d’une poignée d’individus affidés en double allégeance, il est dès lors facile à ceux qui veulent appliquer les méthodes du Bolchévisme et je pèse mes mots et je réitère « qui veulent appliquer les méthodes du Bolchévisme », d’étouffer par ces mêmes procédés et stratégies, le cri de l’innocent, car nous en sommes là et que cela commence toujours de la même façon.
Le vieillard que je suis, compatis sincèrement à l’épreuve que traverse le lieutenant Paul Morra, en cette période où l’être humain est remis totalement en question, où des cinglés qui ont pignon de Presse peuvent proclamer sans risque d’être importuné que l’homme qui arrive à 60 ans est un déchet et qu’il doit être piqué, où des pedocriminels ont mis l’Etat sous influence avec toute la déchéance et la ruine à laquelle l’on assiste, oui, défendre la Liberté c’est remercier ceux qui ont donné leur vie pour nous la transmettre.
La Liberté est une fleur fragile à laquelle il y a lieu de donner beaucoup d’attention, de soins et d’amour si on veut la préserver.
Tout mon soutien au Lieutenant Paul Morra.
Christian Sébenne
Ancien propriétaire du magazine Africa International
8 avril 2018 - 22 h 34 min
Plainte en diffamation !!!
Si le manque de discernement doit être illustré, en voilà un bel exemple, venant d’un de ces généraux qui, sous peu reconverti on ne sait où, se posera en expert d’on ne sait quoi.
Tout mon soutien à vous M. MORRA.
8 avril 2018 - 16 h 07 min
Enfin !!!
Qui sème le vent…
8 avril 2018 - 20 h 39 min
Qui ? Qui selon vous sème le vent ?
8 avril 2018 - 5 h 23 min
Ce que je vois, c’est ce site !
Qu’en as-tu fait ?
Tu viens chercher des soutiens !
Tu as coupé les racines du mouvement et tu te retrouves tout seul.
Tu dois avoir le sentiment d’un mec qui se retrouve sur une île déserte avec un sac de provisions vide, puisqu’il a lui-même jeté le contenu. A moins que tu te retrouves seul en pleine tempête sur un petit radeau pour avoir quitté un bateau solide équipé pour faire face aux éléments déchaînés.
Tu n’as pas compris que tu faisais parti d’un ensemble cohérent tenu par des fondations discrètes mais tellement ancrées dans le sol qu’on ne les vois pas, qu’on les oublie.
Le général te poursuit parce qu’il a constaté ton état.
Tu t’y es mis tout seul.
Je ne te pardonne pas d’avoir tué ce média qui faisait des centaines de milliers de connexions par mois au point de faire envie aux grands médias nationaux et qui portait notre voix, une voix forte, structurée, ouverte dans le pays tout entier.
Dans des cas semblables, nous aurions pu contacter les parlementaires, demander des audiences aux autorités, voir nos nombreux amis journalistes pour faire du tapage pour faire reculer un directeur trop vif, mais là, nous ne pouvons que constater que le seul type cohérent et réfléchi, c’est bien ce directeur.
Et si tu n’as pas appris que le droit et les poursuites judiciaires sont des outils dans les mains des patrons et qu’ils se foutent complètement de la fin de la procédure, l’essentiel est d’intimider, de gagner du temps, alors tu n’as rien compris.
Ils t’appliquent le système Sarko. Poursuivons toujours, le mal est fait et peu importe la fin.
Le directeur se fout complètement de savoir si tu es dans ton droit ou pas. Il va t’amuser, mettre le doute dans ton association personnelle à toi, et la liquider. Il a tout le temps. Tu n’en as pas. Il a tous les avocats gratos, toi tu vas chercher des défenseurs de seconde zone, puisque même de l’adefdromil tu t’es coupé.
Si j’ai un conseil à te donner, c’est de transiger, la gendarmerie est bonne fille, elle a toujours pardonné même si elle veut sauvegarder la face, mais ne la pousse pas à bout, tu vas te faire écrasé tu vas sombrer tout seul sur ton frêle esquif .
Mais qu’as-tu fait de cet outil, de ce site ? Pour moi ça en dit long sur celui qui pense ne s’en servir qu’à des fins personnelles.
Jacky
8 avril 2018 - 9 h 25 min
Certains prétendent qu’il est globalement trois catégories de personnes : les loups, les moutons, les chiens de garde. Si vous vous retrouvez dans l’une d’entre elles, je serais curieux de savoir si votre sentiment d’appartenance correspond à celui que j’ai de vous au regard de votre commentaire éminemment personnel à l’encontre de M. Morra.
8 avril 2018 - 10 h 54 min
M. MESTRIES,
En tant que fidèle lecteur d’Armée média, je m’étonne de votre amertume et de votre agressivité déferlées à l’adresse de M. MORRA. La critique est une bonne chose et elle est légitime. Mais la haine, rend votre propos excessif et comme vous le savez, tout ce qui est excessif est insignifiant selon l’adage. Concernant l’ADEFDROMIL dont vous faites référence, M. MORRA a toujours défendu cette association dont il était adhérent et membre de son conseil d’administration durant de longues années. Je me rappelle qu’il a toujours rendu hommage au Capitaine (ER) Michel BAVOIL, ancien président co-fondateur. Vos propos je pense, doivent faire référence à ce qui l’a opposé à Jacques BESSY, colonel de gendarmerie (ER) actuel président de l’ADEFDROMIL AIDE AUX VICTIMES. J’ai parfaitement souvenance des articles de M. MORRA en réponse aux attaques de M. BESSY le concernant et de sa trahison. Pour une personne qui prétendait défendre les victimes, il faisait le jeu de la hiérarchie, c’est pour le moins paradoxal pour ne pas dire autre chose… Je me souviens aussi d’un article dénonçant M. BESSY pour avoir menti devant la Commission de la Défense Nationale et des Forces Armées à l’Assemblée Nationale en se faisant passer en tant que retraité, ce qui est formellement interdit par le code de la défense, comme le représentant désigné le l’APNM présidée par M. MORRA, alors qu’il n’en était ni membre, ni même représentant. Ce mensonge devant la représentation nationale à l’instar de celui d’un ancien ministre a été officialisé par la vidéo de cette commission, ce qui ne peut en aucun cas être réfuté. Je ne commenterai pas le reste de votre propos, car lorsqu’un argument comme celui là ne tient plus, la valeur du reste est pour le moins largement suspecte. Votre vision au télescope depuis URANUS concernant M. MORRA devrait motiver un changement de lentille pour éviter des erreurs de parallaxe afin de rectifier votre vision quelque peu altérée, je dirai même aveuglée. Une consultation ophtalmologique me paraît en conséquence fortement nécessaire, je le crois sincèrement et je vous la recommande. J’attire également votre attention sur des précédents commentaires de personnes tout a fait légitimes qui pensent différemment de vous et qui attestent des actions de M. MORRA en faveur des victimes de harcèlement. Vous en avez manifestement que faire! Pour la plainte du DGGN en diffamation, chacun sait que la meilleure défense c’est l’attaque! Laissez à M. MORRA la possibilité de publier ses conclusions et les documents produits en justice et vous commenterez à ce moment là. Pour vos comparaisons politiques, de grâce arrêtez, les militaires se doivent d’être apolitique dans leur liberté d’expression, même si votre qualité de retraité fait de vous un citoyen classique, aucun militaire en activité responsable et respectueux du devoir de réserve en la matière ne vous répondra sur ce point. Il vaut mieux combattre seul, ce qui est symbole de courage que d’être accompagné par des soldats qui reculent pendant que vous avancez. Bien cordialement.
8 avril 2018 - 21 h 17 min
Cher Monsieur, je m’interroge sur le sens véritable de votre commentaire quelque part insaisissable. Voudriez-vous bien en préciser la finalité ?
Retweeter à tout-va est une chose ; s’exprimer clairement en quelques mots en est une autre.
Vous en remerciant par avance.
7 avril 2018 - 16 h 57 min
Initiative malencontreuse du chef des gendarmes qui vient confirmer la viscérale absence de conscience situationnelle dans les plus hautes sphères.
Comment ignorer que l’IGGN a régulièrement pour tâche de gommer des dysfonctionnements internes, trop souvent imputables à l’absence totale de contrôle des échelons intermédiaires de commandement, comme celle des petits dictateurs de proximité ?
Pourquoi dénier l’existence d’invraisemblables scénarios qui, complètement en dehors des normes, se déroulent pourtant tous les jours dans les unités ?
Que dire à propos des situations personnelles dramatiques qui naissent dans ces circonstances, tandis que les gardiens du temple somnolent en attendant leur promotion ?
Souhaitons que les esprits scientifiques de l’institutIon renseignent ses plus hauts dirigeants à propos des probabilités que cette situation perdure, et sur un principe universel concernant la pesanteur : plus on s’elève (et plus on est lourd), plus dure sera la chute.
7 avril 2018 - 12 h 32 min
Commebt peut on porter plainte contre un homme de valeur qui se dresse contre ce fléau qu’est le harcèlement. Il existe partout. Pourquoi cette grande institution refuse t-elle d’ouvrir les yeux ? Au contraire, cela lui ferait honneur de défendre ce genre de pratiques. C’est tellement facile de se taire et de laisser ceci dans un tiroir ! Je l’ai vécu il y a 2 mois en tant que femme de gendarme ! L’attente, la peur de… et le soulagement de son retour puis toute l’aide et l’amour que je tente de lui apporter pour retrouver le goût de vivre ! Je ne le souhaite même pas à mon pire ennemi de le vivre !
Merci Monsieur MORRA de vos belles valeurs mais également de votre soutient.
On juge la valeur d’un homme par ces actes. Certains feraient bien d’en prendre enfin le sens … La vie serait bien plus douce.
6 avril 2018 - 21 h 21 min
Bonne initiative. La peur semble avoir changé de camp. Les médias se font étriller par des officiers dans des organes de communication d’extreme droite apres les publications de victimes de sexismes et de racisme dans les écoles d’officiers et leurs classes préparatoires. Les victimes sont dénigrées et ostracisées par ces chefs qui ont oublié qu’ils représentent l’état et que leur rôle n’est pas de nuire aux intérêts de leurs subordonnés. Ils n’ont que ce qu’ils méritent par leur indigence ! Il leur en cuira autant qu’ils ont été corrompus !
8 avril 2018 - 21 h 40 min
La moralisation dans les armées n’est toujours pas une préoccupation pour nos politiques. Ce n’est qu’une question de temps.